Dernière mise à jour :
La Commission européenne tire la sonnette d'alarme, vendredi 25 novembre, au sujet du retard pris par la majorité des Etats membres, quant à la mise en place du ciel unique européen. Ce dernier doit permettre aux pays membres de l'Union européenne de gérer au mieux les flux aériens, afin d'optimiser la capacité d'accueil. La demande aérienne devrait doubler d'ici 2030. A ce jour, 1,4 milliard de passagers sont recensés par an dans les 440 aéroports de l'Union.
Concernant le ciel unique européen, ensemble de propositions visant à mettre en place un système paneuropéen de gestion du trafic aérien d'ici à 2030, Siim Kallas, vice-président de la Commission européenne chargé des Transports, a déclaré : "Nous courons le risque réel de prendre du retard et de nous retrouver dans l'impossibilité de répondre à la demande croissante de transports aériens, qui devrait quasiment doubler d'ici à 2030".
D'après les évaluations rendues public vendredi, seuls cinq états européens sont en bonne voie pour atteindre les objectifs fixés par Bruxelles, en vue de déployer le ciel unique européen. La Belgique, le Danemark, la Lituanie, le Luxembourg et les Pays-Bas ont à ce jour améliorer leurs systèmes de gestion aérienne dans le domaine de l'efficacité économique et de la ponctualité. La France, à l'inverse, n'a atteint aucun objectif fixé par la Commission européenne.
Les aéroports européens et les routes aériennes arrivent à saturation. Selon la Commission européenne, 1,4 milliard de passagers voyagent chaque année dans 440 aéroports de l'union. Chaque jour, 26.000 vols se croisent dans le ciel européen. Le nombre de vols assurés augmente chaque année de 5%.
Le ciel unique européen, voulu par Bruxelles, a pour objectif de multiplier par trois la capacité de l'espace aérien, de multiplier par dix la sécurité aérienne, de réduire de 10 % les incidences environnementales, et de réduire de moitié les frais de gestion du trafic aérien.
La Commission européenne tire la sonnette d'alarme, vendredi 25 novembre, au sujet du retard pris par la majorité des Etats membres, quant à la mise en place du ciel unique européen. Ce dernier doit permettre aux pays membres de l'Union européenne de gérer au mieux les flux aériens, afin d'optimiser la capacité d'accueil. La demande aérienne devrait doubler d'ici 2030. A ce jour, 1,4 milliard de passagers sont recensés par an dans les 440 aéroports de l'Union.
Concernant le ciel unique européen, ensemble de propositions visant à mettre en place un système paneuropéen de gestion du trafic aérien d'ici à 2030, Siim Kallas, vice-président de la Commission européenne chargé des Transports, a déclaré : "Nous courons le risque réel de prendre du retard et de nous retrouver dans l'impossibilité de répondre à la demande croissante de transports aériens, qui devrait quasiment doubler d'ici à 2030".
D'après les évaluations rendues public vendredi, seuls cinq états européens sont en bonne voie pour atteindre les objectifs fixés par Bruxelles, en vue de déployer le ciel unique européen. La Belgique, le Danemark, la Lituanie, le Luxembourg et les Pays-Bas ont à ce jour améliorer leurs systèmes de gestion aérienne dans le domaine de l'efficacité économique et de la ponctualité. La France, à l'inverse, n'a atteint aucun objectif fixé par la Commission européenne.
Les aéroports européens et les routes aériennes arrivent à saturation. Selon la Commission européenne, 1,4 milliard de passagers voyagent chaque année dans 440 aéroports de l'union. Chaque jour, 26.000 vols se croisent dans le ciel européen. Le nombre de vols assurés augmente chaque année de 5%.
Le ciel unique européen, voulu par Bruxelles, a pour objectif de multiplier par trois la capacité de l'espace aérien, de multiplier par dix la sécurité aérienne, de réduire de 10 % les incidences environnementales, et de réduire de moitié les frais de gestion du trafic aérien.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire