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Casablanca Finance City (CFC), dont le lancement officiel est prévu en 2012, représente un projet ambitieux visant à faire de la capitale économique du Maroc un hub régional de la finance en Afrique du Nord et de l'Ouest, estime le think-tank britannique The Economist Intelligence Unit (EIU).
Le décret d'application de la loi relative au statut de la CFC, adopté récemment, offre plusieurs avantages en matière fiscale en faveur des sociétés exportatrices de services financiers, indique le think-tank dans son rapport mensuel du mois de novembre sur le Maroc.
Le texte prévoit la création d'une commission qui devra superviser l'octroi de licences dans le cadre du nouveau statut de la City de Casablanca, ajoute la source.
En mai dernier, le Moroccan Financial Board (MFB), société gestionnaire de la CFC, a signé un mémorandum d'entente avec le Singapore Cooperation Entreprise (SCE), scellant un partenariat portant notamment sur le développement du centre financier international marocain, rappelle le think-tank.
L'accord devra permettre à la CFC de bénéficier de l'expérience de Singapore en matière de développement et de gestion des activités financières, indique l'EIU, soulignant que le MFB oeuvre également en faveur de la promotion de l'image du Maroc en tant que destination des investissements étrangers.
En dépit de la persistance de certaines difficultés liées au contexte de la crise internationale, les efforts se poursuivent pour renforcer la place du marché financier marocain, ajoute la source, citant notamment l'annonce, en juillet dernier par Casablanca Stock Exchange, d'un train de mesures d'incitation en faveur des petites et moyennes entreprises souhaitant être cotées à la bourse.
Le gouvernement marocain a également offert des avantages fiscaux en faveur des compagnies cotées, indique le think-tank, relevant que les discussions se poursuivent pour l'amélioration de la liquidité du marché.
La bourse de Casablanca travaille étroitement avec les régulateurs pour la mise en application des lois relatives au marché dérivé, lesquelles lois devront permettre aux compagnies d'assurance et aux banques de couvrir leur risque sur le marché de capitaux et d'injecter un nouveau sang dans la bourse, indique le think-tank.
Casablanca Finance City (CFC), dont le lancement officiel est prévu en 2012, représente un projet ambitieux visant à faire de la capitale économique du Maroc un hub régional de la finance en Afrique du Nord et de l'Ouest, estime le think-tank britannique The Economist Intelligence Unit (EIU).
Le décret d'application de la loi relative au statut de la CFC, adopté récemment, offre plusieurs avantages en matière fiscale en faveur des sociétés exportatrices de services financiers, indique le think-tank dans son rapport mensuel du mois de novembre sur le Maroc.
Le texte prévoit la création d'une commission qui devra superviser l'octroi de licences dans le cadre du nouveau statut de la City de Casablanca, ajoute la source.
En mai dernier, le Moroccan Financial Board (MFB), société gestionnaire de la CFC, a signé un mémorandum d'entente avec le Singapore Cooperation Entreprise (SCE), scellant un partenariat portant notamment sur le développement du centre financier international marocain, rappelle le think-tank.
L'accord devra permettre à la CFC de bénéficier de l'expérience de Singapore en matière de développement et de gestion des activités financières, indique l'EIU, soulignant que le MFB oeuvre également en faveur de la promotion de l'image du Maroc en tant que destination des investissements étrangers.
En dépit de la persistance de certaines difficultés liées au contexte de la crise internationale, les efforts se poursuivent pour renforcer la place du marché financier marocain, ajoute la source, citant notamment l'annonce, en juillet dernier par Casablanca Stock Exchange, d'un train de mesures d'incitation en faveur des petites et moyennes entreprises souhaitant être cotées à la bourse.
Le gouvernement marocain a également offert des avantages fiscaux en faveur des compagnies cotées, indique le think-tank, relevant que les discussions se poursuivent pour l'amélioration de la liquidité du marché.
La bourse de Casablanca travaille étroitement avec les régulateurs pour la mise en application des lois relatives au marché dérivé, lesquelles lois devront permettre aux compagnies d'assurance et aux banques de couvrir leur risque sur le marché de capitaux et d'injecter un nouveau sang dans la bourse, indique le think-tank.
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