mardi 30 avril 2013

L'assistant personnel de Google vient rivaliser avec Siri sur l'iPhone

Dernière mise à jour : 

Google a annoncé lundi le lancement de son assistant personnel Google Now sous forme d'application mobile pour l'iPhone et l'iPad d'Apple, mettant ainsi la pression sur Siri, l'assistant conçu par le groupe à la pomme.
"Aujourd'hui, avec le lancement de Google Now sur iPhone et iPad, votre smartphone va devenir encore plus intelligent", assure le géant de l'internet dans un message publié sur un de ses blogs officiels.
Google Now est, comme Siri, un programme activé par la voix. Il est désormais disponible sous forme d'une application compatible avec iOS, le système d'exploitation mobile utilisé par Apple pour ses téléphones et ses tablettes.
Google et Apple sont actuellement à couteaux tirés sur le marché des appareils mobiles. Android, le système d'exploitation conçu par Google et utilisé par une série de fabricants dont Samsung, domine désormais clairement le marché des smartphones. Dans les tablettes, l'iPad reste numéro un mais Android gagne rapidement des parts de marché.
Google fait valoir parallèlement que Siri menace potentiellement son activité centrale de recherche sur internet, et les importantes recettes publicitaires qui vont avec, en permettant aux utilisateurs de smartphones de faire des recherches sans passer par Google Search.

La Chine détrône les Etats-Unis comme premier marché mondial des PC

Dernière mise à jour : 

La Chine a pour la première fois détrôné les Etats-Unis l'an dernier comme premier marché mondial des ordinateurs de bureau (PC), plébiscités par la population des zones rurales, selon une étude lundi du cabinet de recherche IHS iSuppli.
Les ventes de PC ont représenté 69 millions d'unités en Chine en 2012, contre seulement 66 millions aux Etats-Unis la même année.
Contrairement à d'autres pays du monde où les ventes d'ordinateurs de bureau sont tombées derrière celles de modèles portables, la demande en Chine reste également répartie entre les deux catégories (50% chacune).
"Le pourcentage relativement élevé des ventes de PC de bureau en Chine est dû à l'énorme demande dans les régions rurales du pays, qui représente une part majeure des 1,34 milliard d'habitants du pays", a commenté Peter Lin, un analyste d'IHS. "Ces consommateurs ont tendance à préférer l'ordinateur de bureau".
IHS prédit toutefois que l'équilibre devrait se modifier dans les prochaines années, grâce à l'émergence d'ordinateurs portables moins chers, et que le marché chinois devrait s'aligner sur la répartition moyenne de 36% d'ordinateurs de bureau pour 64% d'ordinateurs portables.
En outre, "comme dans le reste du monde, la demande (de PC) en Chine reste faible alors que les consommateurs migrent vers des appareils mobiles comme les téléphones portables", note IHS. Le marché devrait quand même croître de 3% à 4% cette année.
Le marché mondial des PC traverse une grave crise, plombé par l'environnement économique mais surtout l'essor des engins mobiles capables de se connecter à internet, comme les smartphones et surtout les tablettes. Les ventes mondiales d'ordinateurs ont plongé de plus de 10% au premier trimestre.

Vivendi examinera “deux offres de reprise engageantes”

Dernière mise à jour : 

Le conglomérat français Vivendi a annoncé mercredi soir son intention d'examiner “deux offres de reprise engageantes” pour sa filiale Maroc Telecom. Une manière de démontrer à ses actionnaires sa volonté affichée depuis l'automne de se recentrer sur les médias.
Selon une source proche du dossier, Vivendi espère tirer entre 4 et 5 milliards d'euros de la vente de ses 53% dans le principal opérateur marocain. Deux opérateurs du Golfe guignent cette participation majoritaire: l'émirati Etisalat et le qatari Ooredoo (ex-Qtel).
Dans un communiqué laconique diffusé mercredi soir, Vivendi s'est gardé d'identifier les deux repreneurs, promettant juste d'“examiner” leurs propositions “dans les prochaines semaines, dans le meilleur intérêt des actionnaires de Vivendi et de sa filiale Maroc Telecom”.
Etisalat et Ooredoo (ex-QTel), dont les noms circulaient depuis les premières rumeurs de cession l'an dernier, avaient auparavant eux-mêmes confirmé le dépôt effectif d'“offres fermes”.
La réglementation en vigueur au Maroc imposera au repreneur de lancer une offre publique d'achat sur les actionnaires minoritaires de Maroc Telecom, ce qui pourrait lui permettre à terme de détenir plus que les 53% offerts par Vivendi, a souligné Etisalat.
De son côté, l'opérateur du Qatar Ooredoo a indiqué que l'offre avait été approuvée “avec effet immédiat”. Et de préciser que les financements nécessaires au rachat avaient été assurés auprès d'un consortium de dix banques (jusqu'à 9,1 milliards d'euros).

Amara pour un Maroc porte d'entrée de l'Afrique et du Maghreb

Dernière mise à jour : 

Les opportunités à saisir et les moyens à mettre en œuvre pour une meilleure coopération ont été au centre d'une rencontre à Ottawa entre le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara et le Secrétaire parlementaire du ministre canadien du Commerce international, Gerald Keddy.
“Nous avons besoin d'une collaboration intelligente gagnant-gagnant entre nos entreprises respectives pour mieux se positionner sur d'autres marchés, notamment africain”, a déclaré M. Amara.
Le ministre a également souligné que le Maroc se présente comme un relais de croissance et une porte d'accès aux marchés de l'Afrique subsaharienne et du Maghreb, où le Maroc s'est installé à travers ses trois premières banques (BCP, Attijariwafa bank et BMCE) et ses assurances.
“Nous travaillons sur l'intégration régionale par conviction de sa pertinence et de son importance. Le Maroc est le premier pays dans sa région en termes d'ouverture économique, notamment à travers les 55 pays avec lesquels nous avons signé des ALE (accord de libre échange).”
ABDELKADER AMARA, MINISTRE DE L'INDUSTRIE, DU COMMERCE ET DES NOUVELLES 
TECHNOLOGIES.

De son côté, le secrétaire parlementaire du ministre du Commerce international, pour l'Agence de promotion économique du Canada atlantique et pour la porte d'entrée de l'Atlantique, Gerald Keddy, a estimé que le Canada considère le Maroc comme “porte d'entrée pour l'Afrique”. Il s'est accordé avec M. Amara sur l'importance pour les PME canadiennes de profiter des atouts et avantages offerts par le Royaume.
Et de citer pour exemple la confiance que témoignent les industriels canadiens au Maroc, dont le Groupe Bombardier spécialisé en aéronautique, un secteur dans lequel les PME canadiennes montrent une dynamique particulière puisqu'elles fournissent environ 75% des pièces aux intégrateurs et avionneurs.
Rappelons qu'Abdelkader Amara s'est rendu au Canada pour inaugurer les pavillons du Maroc au sein des deux manifestations de renommée mondiale : Aéromart Montréal (23-25 avril) et SIAL Canada 2013 (30 avril-2 mai), à Toronto.


vendredi 26 avril 2013

Comment trouver une idée de business ?

La création et le développement d’une entreprise est un long parcours qui commence par un élément qui parait simple mais s’avère complexe, l’idée ! Des idées arrivent à tout moment, mais parmi ces idées, il faut savoir distinguer les bonnes. En suivant les conseils présentés dans cet article, vous aurez plus de facilité à déceler votre prochaine grande idée.

Concentrez-vous sur vos centres d’intérêt :
Tout d’abord, il faudrait vous focaliser sur vous-même. En effet, faites un point sur vos centres d’intérêt, sur ce qui vous passionne au quotidien. Cela permettra de définir ce qui vous intéresse le plus pour identifier les domaines à favoriser dans votre recherche d’idées. En effet, pour être entrepreneur, il vaut mieux être passionné, ce qui accentuera votre détermination à réussir, face aux obstacles que vous rencontrerez.
De plus, la passion pour votre métier vous permettra de chercher à toujours améliorer votre produit en apportant des innovations, tandis que vos concurrents vous regarderont pour vous copier, et non l’inverse.

Soyez à l’écoute :
L’insatisfaction constante de l’Homme nécessite d’innover, pour toujours faire mieux. Votre entourage personnel et professionnel vous expose surement des problèmes qu’ils rencontrent parfois, lors de l’utilisation de produits ou services. Ce sont ces problèmes qui pourraient vous donner des idées pour satisfaire leur attente. Soyez donc à l’écoute de votre proche et de votre environnement.

Un marché que vous maitrisez, c’est mieux !
Favorisez les domaines que vous comprenez clairement. Les besoins des consommateurs comme les offres proposées par vos futurs concurrents doivent être analysées pour déceler les avantages et les inconvénients. Grâce à votre analyse, vous pourrez déterminer votre offre et la valeur ajoutée réellement apportée par rapport à eux.

Définir une équipe compétente :
Une fois l’idée trouvée, vous devrez la réaliser, il vous faut donc une équipe compétente pour développer au mieux ce que vous rêvez de vendre. Faites le point sur les compétences nécessaires pour assurer le développement et la commercialisation de votre projet. Idéalement, vous devrez apporter vos compétences et compléter celles qui vous manquent par le recrutement d’associés (NDLR: ou de partenaires, ou de prestataires externes…)
Cependant, trouver un associé compétent et en accord avec votre stratégie est complexe. Vous pouvez participer à des évènements pour entrepreneurs pour vous faciliter la tâche et rencontrer d’autres personnes en recherche d’associés. Déléguez également les tâches contraignantes, comme la comptabilité et l’administratif, à des partenaires comme un cabinet d’expertise comptable. Cela vous permettra de vous concentrer sur vos missions les plus importantes.
Ne négligez pas cette phase qui définira la qualité de votre offre. Si une compétence primordiale est manquante, votre produit risque de ne pas être suffisamment abouti pour contrer vos concurrents, puisque si un marché existe, vous aurez forcement des concurrents, tôt ou tard !

Mettez en place une veille active :
Un marché évolue constamment, que ce soit les tendances de consommation comme les technologies. Se tenir informé des évolutions d’un marché permet d’être plus réactif et d’anticiper les futures offres de vos concurrents. La presse, la télévision, les blogs spécialisés sont de très bons moyens pour effectuer une veille régulière.
La France est un petit pays à l’échelle du monde, sortez de nos frontières pour augmenter vos chances de dénicher une belle opportunité. De nombreux pays sont plus développés que la France dans des domaines très variés, comme les Etats-Unis avec les concepts de services web.
Pourquoi ne pas suivre ce qui se passe aux Etats-Unis pour exploiter un concept encore inexistant en France, alors qu’il pourrait faire fureur ?

Cet article a été rédigé par Marc de Zordo de MonPetitBiz.fr, le magazine dédié aux idées innovantes et tendances à travers le monde.



http://networkedblogs.com/IZh8B

Invitez un entrepreneur au restaurant pour ses conseils et son expertise


Quand on souhaite créer son entreprise, il faut savoir bien s’entourer et idéalement avoir les conseils d’un mentor. Pourquoi ne pas faire confiance à quelqu’un qui a déjà expérimenté l’entreprenariat et qui est intéressé pour jouer le rôle de conseiller et de mentor gratuitement ?
dejeuner_entrepreneur
Est-ce que le coût d’un déjeuner convivial ne vaut pas largement les conseils avisés d’un entrepreneur motivé pour partager son expérience de terrain, vous donner son avis sur votre business plan et votre projet d’entreprise d’une manière générale ? Un chef d’entreprise saura mieux que quiconque vous indiquer les problèmes que vous risquez de rencontrer comme lui, mais aussi vous donner des astuces et des conseils pratiques qui pourront bien souvent vous faire gagner du temps dans vos démarches. Son vécu sera en tout cas certainement plus concret et plus efficace que les informations théoriques des conseillers de telle ou telle agence gouvernementale…
Le site L’addition Est Pour Moi a donc eu l’idée de mettre en relation de jeunes (ou moins jeunes) entrepreneurs ou experts dans certains domaines, et des personnes désireuses de les inviter au restaurant en échange de conseils pratiques dans le domaine de l’entreprenariat ou toute autre expertise dans laquelle vous auriez besoin d’avis et d’informations de terrain.
Voici quelques exemples de profils qui pourraient vous être utile :
  • Un attaché de presse qui pourrait partager des astuces pour convaincre des journalistes de parler de votre entreprise
  • Un business angel qui saura vous guider pour lever des fonds
  • Un spécialiste des fusion et acquisitions d’entreprise qui pourra vous aider à préparer la vente de votre entreprise
  • Un expert du marketing sur les réseaux sociaux qui pourra vous donner des idées pour développer la visibilité de votre marque sur Internet
  • Un expert du SEO qui vous offrira des astuces pour préparer la stratégie de référencement de votre boutique e-commerce
  • Un entrepreneur qui aime la bonne bouffe et ne cherche qu’à se faire inviter pour faire des économies (humour…)
  • Un responsable de plusieurs sites e-commerce qui cherche à partager sa vision du marché
  • etc…
Le site L’addition Est Pour Moi est très simple à utiliser et vous permet bien entendu de trouver des entrepreneurs ou des experts dans votre ville ou votre région !
Dernier point important : c’est aussi une opportunité fabuleuse de commencer à tisser votre propre réseau professionnel qui pourra s’agrandir rapidement si vous sympatisez avec votre mentor…


http://networkedblogs.com/IZh8B

18 facteurs de réussite et d’échec pour entreprendre



Créer sa petite entreprise est désormais à la portée de tout le monde grâce à la mise en place du statut auto entrepreneur. La démarche de l’inscription en auto entrepreneur se fait en effet gratuitement en 5 minutes sur Internet.
Mais cela est la théorie et la partie facile car le succès ou l’échec de votre entreprise dépend d’autres facteurs beaucoup plus importants que VOUS devez maîtriser ou apprendre à maîtriser : c’est vous le capitaine du navire et c’est à vous de faire en sorte qu’il navigue dans les meilleures conditions et en évitant les tempêtes, les icebergs et autres dangers qui pourraient littéralement couler votre entreprise !
Premièrement il faut que vous preniez le temps de comprendre quels sont vos droits, vos devoirs et vos obligations en tant qu’ auto entrepreneur car la démarche de l’inscription n’est que le tout début des démarches administratives qui vous attendent.
Mais un bon chef d’entreprise sait aussi qu’il doit adopter une attitude positive et ouverte tant vis à vis de ses clients, que de ses collaborateurs ou partenaires.
Un bon capitaine (de navire ou d’entreprise) doit aussi maîtriser les cartes et les meilleures routes pour atteindre ses objectifs (ligne de conduite, objectifs et plans pour les atteindre).
Comme les grands explorateurs, un chef d’entreprise ne doit pas craindre l’inconnu et doit toujours rester alerte, prêt à apprendre, à s’adapter aux évènements inattendus  saisir les opportunités, découvrir, accepter ses erreurs et en tirer des leçons utiles pour l’avenir.
Je vous propose une liste de 18 facteurs clés pour le succès de votre carrière d’entrepreneur, mais aussi leurs opposés qui mènent à l’échec, histoire de bien identifier quand on fait fausse route…
Panneaux réussite et échec
18 facteurs de succès pour réussir sa vie professionnelle et personnelle :
  1. Avoir une ligne de conduite
  2. Avoir une liste de projets à réaliser
  3. Définir ses objetifs et développer des plans pour les atteindre
  4. Apprendre à partager et à collaborer par plaisir
  5. Partager ses informations et données
  6. Pardonner aux autres
  7. Apprendre à se montrer patient et compréhensif
  8. Avoir le sens de la gratitude
  9. Complimenter
  10. Accorder du crédit aux autres
  11. Vouloir la réussite des autres
  12. Parler de ses idées
  13. Tenir un journal
  14. Ne pas cesser d’apprendre
  15. Accepter la responsabilité de ses échecs
  16. Identifier chaque jours les petites choses qui nous ont rendu heureux
  17. Faire en sorte d’être content d’avoir passer une journée utile
  18. Accompagner le changement

18 facteurs qui mènent à l’échec :
  1. Ne pas avoir de but défini
  2. Ne pas savoir ce que l’on veut
  3. Improviser
  4. Agir par intérêt
  5. Garder les informations pour soi
  6. Etre rancunier
  7. Montrer sa colère
  8. Croire que ce qu’on obtient est un dû
  9. Critiquer
  10. Faire siennes les réussites des autres
  11. Espérer secrètement les échecs des autres
  12. Parler des autres et les envier
  13. Dire que l’on tient un journal et ne pas le faire
  14. Penser que l’on sait tout sur tout
  15. Blâmer les autres pour leurs erreurs
  16. Se plaindre en permanence
  17. Regarder la télé tous les jours
  18. Fuir le changement






http://networkedblogs.com/IZh8B

10 conseils pour faire votre étude de marché Lire la suite sur: http://autoentrepreneurinfo.com/10-conseils-pour-faire-votre-etude-de-marche#ixzz2RZx99qXI

Avez-vous déjà fait ou fait faire une étude de marché pour valider votre projet de création d’entreprise ?
Cette étape permet de prendre du recul et d’oublier vos idées préconçues en posant les questions qui valideront ou invalideront ce que vous croyez être un produit ou un service utile, un prix correct et compétitif, etc…
Si vous êtes déjà en activité, c’est aussi une opportunité pour booster votre entreprise en affinant votre stratégie, en trouvant de nouvelles idées, un nouveau marché, etc…
Bref, quelque soit l’avancement de votre projet ou de votre entreprise, ne négligez pas l’outil précieux qu’est l’étude de marché !


Lire la suite sur: http://autoentrepreneurinfo.com/10-conseils-pour-faire-votre-etude-de-marche#ixzz2RZxBvPJp
1) L’enthousiasme de l’entrepreneuriat ne doit pas vous faire oublier la réalité du terrain :
  • est-ce que votre idée de produit ou de service intéresse réellement des personnes ou êtes vous le ou la seul(e) à avoir besoin de ce concept ?
  • est-ce que votre idée est vraiment utile ou est-ce que vos clients potentiel ont déjà une alternative plus simple et/ou moins cher pour solutionner le problème auquel vous pensez ?
  • êtes-vous vraiment le premier ou le/la seul(e) à avoir eu cette idée géniale ou y-a-t-il déjà des concurrents sur le marché ?
  • quel est réellement le profil de votre client type ? Avez-vous réellement bien ciblé vos prospects ou devez-vous plutôt centrer vos efforts sur une autre tranche d’âge, de sexe ou de profil ?
  • vos prospects sont-ils prêts à payer un prix qui vous permettra de réaliser un vrai bénéfice ou est-ce
Trop souvent, on se laisse éblouir par l’idée qu’on croit géniale car elle correspond à notre propre vécu, à une problématique qu’on a nous même rencontré, au plaisir que le produit ou le service nous procurerait… Mais on peut aussi être l’exception parmi le public, et dans ce cas créer une entreprise sur cette seule base c’est aller droit dans le mur !

2) Faites bien la différence entre questions ouvertes, questions fermées et QCM :
qcm_etude_de_marche
L’objectif des questions n’est pas toujours le même. Il est important de bien identifier votre propre objectif en fonction du type de question et de leur formulation :
  • une question fermée (oui/non ou QCM) vous permet de valider un concept, une idée, un prix, une liste d’options auxquelles vous pensez.
  • une question ouverte vous permet de recueillir des idées et d’ouvrir votre horizon.
Rappelez-vous de votre objectif lorsque vous posez une question : quel type de réponse attendez-vous pour cette question.
Vous pouvez tout à fait avoir 2 questions similaires dans votre étude de marché, mais avec dans un cas une question qui a pour objectif de valider ce que vous pensez, et dans l’autre l’objectif de recueillir des avis plus larges.

3) L’étude de marché peut vous révéler des détails intéressants qui vous permettront de proposer un produit ou un service particulièrement rentable et attractif par rapport à la concurrence établie :
Un cas typique de créateur d’entreprise est celui du porteur de projet qui travaille depuis déjà des années dans le même secteur et qui est persuadé qu’il connait bien les clients, les produits ou services, ainsi que les gammes de prix pratiquées. Mais comment vous différencier si vous copiez directement ce que vous connaissez déjà ?
Et êtes-vous certain que vous partirez avec les mêmes conditions d’achat et de frais de fonctionnement que la concurrence ? Vouloir casser les prix est très souvent une mauvaise stratégie car si vos concurrents ont fixé un certain niveau de prix c’est qu »il y a une bonne raison. Une erreur courante chez les jeunes créateurs d’entreprise est de vouloir diminuer la marge pour gagner de la clientèle face à la concurrence, sans prendre en compte tous les coûts de fonctionnement, les charges sociales, taxes et impôts à payer. Mais dans le domaine de la vente il faut faire une marge importante pour être rentable.
L’étude de marché peut vous permettre d’identifier certains produits très particuliers, ou des axes d’amélioration sur des produits ou services existants et qui pourraient vous permettre de vous distinguer sans pour autant vous battre sur les prix ! C’est cette stratégie qui est le plus généralement gagnante : identifier le petit plus auquel vos futurs clients aspirent et qui vous permettra de maintenir un prix et une marge élevée.
Cela peut se matérialiser sous différentes formes :
  • des caractéristiques de votre produit qui parlent à une clientèle cible (bio, équitable, fait main, respectant la tradition, etc…)
  • la localisation (fabriqué en France, produit dans votre région, etcà
  • un service en plus par rapport à la concurrence (service à domicile plutôt qu’en boutique, livraison sur le lieu de travail, livraison avec un appel préalable pour être certain de pouvoir recevoir le paquet, un sms pour prévenir le client, etc…)
  • un produit ou un service plus simple et/ou plus rapide que la concurrence (on pense souvent qu’il faut en faire plus, mais parfois les clients attendent de la simplicité…)
Ces petits plus peuvent être identifiés en posant des questions spécifiques lors de votre étude de marché :
  • Qu’est-ce qui vous simplifierait la vie en matière de…
  • Si vous aviez une baguette magique, comment changeriez-vous…
  • Comment amélioreriez-vous le service …
  • Qu’est-ce qui vous ferait choisir un concurrent mis à part le prix ?
  • etc…
Attention à toujours garder des questions ouvertes sur cette catégorie de questions car votre objectif est de recueillir des idées, et pas d’imposer les vôtres !

4) Donnez l’opportunité aux bavards de vous raconter tout ce qu’ils veulent (ou presque) :
Pensez à laisser de la place pour les commentaires car certains sondés aiment raconter leur propre expérience, leurs propres idées, voir même à faire un travail de veille concurrentielle pour vous…
Il serait dommage de ne pas en profiter… donc laisser la place pour ce type d’informations libres (ou au minimum ajoutez des questions libres dans ce sens).
Si vous faites un sondage dans la rue, il faudra bien sûr canaliser un peu plus les bavards qui auraient tendance à monopoliser votre temps. Préparez-vous à cette situation en gardant toujours en tête votre objectif de sondage pour une étude de marché : le moment venu vous pourrez recadrer ces bavards en leur demandant ce que cette expérience (en faisant référence à ce qu’ils vous racontent) pourrait être un plus pour le développement d’un produit ou service comme le votre.

5) Commencez par des questions ouvertes pour récolter des idées sur le terrain sans mettre de barrières psychologiques :
On aurait plutôt tendance à commencer son étude de marché par des questions fermées pour valider sa propre idée. Mais le danger en commençant par des questions fermées est de mettre les personnes sondées dans son propre état d’esprit et d’orienter leur vision du marché selon sa propre vision…
En commençant par des questions ouvertes, vous laissez libre court à l’imagination des personnes sondées ce qui permet de recueillir leurs idées, leur expérience.

6) Pensez à obtenir des validations via des questions fermées et des QCM :
valider_une_ideeAu niveau de la validation de votre projet, utilisez au moins quelques questions fermées pour canaliser les réponses (oui/non et QCM) et identifier si vous faites fausse route ou si votre concept part dans la bonne direction.
Si vous ne faites que recueillir les idées et l’expérience d’autres personnes, vous n’aurez l’esprit que plus embrouillé qu’au départ et vous vous poserez vous même encore plus de questions sur votre projet.
Il est donc impératif de valider vos propres idées, vos interrogations par des questions fermées. Idéalement, il faut prévoir un enchaînement de questions ouvertes puis fermées qui vous permettent de cerner avec plus de précision les choix que vous devrez mettre en oeuvre par la suite. Vous ne pourrez bien entendu pas tout prévoir, mais au moins vous aurez les idées plus claires que si vous restiez uniquement sur des questions ouvertes.

7) Rendez votre étude de marché ludique et attractive pour inciter les sondés à y participer :
entreprise ludiqueIl n’y a rien de plus ennuyeux que de répondre à un sondage… alors pourquoi ne pas y mettre une touche ludique et attractive ?
Cela peut passer par une accroche amusante sur la base d’une anecdote de départ ! N’hésitez pas à parler de ce qui vous incite personnellement à vouloir vous lancer dans ce projet par exemple.
Comme pour un article de blog, si vous faites un questionnaire, utilisez des illustrations qui mettent en valeur les questions ou les concepts clés.
Ne soyez pas monolithique, répartissez vos questions en différentes catégories et en distinguant chaque groupe de questions par une illustration, une petite anecdote ou même une courte vidéo si vous faites votre étude de marché sur Internet ! D’ailleurs, pourquoi ne pas poser vos questions en vidéo et récolter les réponses dans un formulaire concomitant ?
Enfin, n’hésitez pas à dérouter un peu vos interlocuteurs avec des questions un peu décalées et déroutantes…

8) Préparez votre étude de marché par une séance de brainstorming :
brainstorming en entrepriseVous allez devoir préparer sérieusement votre questionnaire, mais commencez par poser toutes les questions qui vous passent par la tête, même les plus farfelues !
Faites cette séance de brainstorming sans vous fixer de limites et en prenant note de tout ce qui vous passe par la tête.
L’organisation et le classement de ces questions pourra être faite plus tard et vous éliminerez certainement des questions à ce moment là… mais pas pour commencer !

9) Mettez-vous dans la tête de vos futurs clients ou prospects :
Mettez-vous dans la peau de vos clients et commencez à prendre en note toutes les questions qui vous viennent sur votre propre produit ou service :
  • Est-ce un produit ou un service dont j’ai vraiment besoin ou est-ce plutôt un achat plaisir ? (cela peut vous permettre d’orienter votre communication plus tard)
  • Le prix est-il bien raisonnable par rapport à mon propre besoin, à la solution ou au plaisir procuré ?
  • Suis-je prêt à payer ce prix ou y-a-t-il des solutions alternatives ? (là on se heurte à la notion de revenus de vos clients… et donc aux catégories sociaux-économiques… il devient difficile de pouvoir répondre pour tous les profils)
  • Puis-je trouver moins cher ailleurs ?
  • etc…
10) Listez les catégories de questions et organisez votre étude de marché de manière logique :
Dressez une liste des grands thèmes que vous souhaitez couvrir dans votre étude de marché :
  • les prix
  • la concurrence
  • l’intérêt ou le besoin réel pour de tels produits ou services
  • la valeur ajoutée ou le bénéfice apporté par votre proposition
  • etc…
Sur base de ces grands thèmes, classez toutes les idées et questions que vous avez récoltées et rédigées jusqu’à présent et structurez le déroulement de votre questionnaire de manière à le rendre logique et fluide.


Lire la suite sur: http://autoentrepreneurinfo.com/10-conseils-pour-faire-votre-etude-de-marche#ixzz2RZxRm2LI


http://networkedblogs.com/IZh8B

jeudi 25 avril 2013

Vivendi examinera “deux offres de reprise engageantes”

Dernière mise à jour : 

Le conglomérat français Vivendi a annoncé mercredi soir son intention d'examiner “deux offres de reprise engageantes” pour sa filiale Maroc Telecom. Une manière de démontrer à ses actionnaires sa volonté affichée depuis l'automne de se recentrer sur les médias.
Selon une source proche du dossier, Vivendi espère tirer entre 4 et 5 milliards d'euros de la vente de ses 53% dans le principal opérateur marocain. Deux opérateurs du Golfe guignent cette participation majoritaire: l'émirati Etisalat et le qatari Ooredoo (ex-Qtel).
Dans un communiqué laconique diffusé mercredi soir, Vivendi s'est gardé d'identifier les deux repreneurs, promettant juste d'“examiner” leurs propositions “dans les prochaines semaines, dans le meilleur intérêt des actionnaires de Vivendi et de sa filiale Maroc Telecom”.
Etisalat et Ooredoo (ex-QTel), dont les noms circulaient depuis les premières rumeurs de cession l'an dernier, avaient auparavant eux-mêmes confirmé le dépôt effectif d'“offres fermes”.
La réglementation en vigueur au Maroc imposera au repreneur de lancer une offre publique d'achat sur les actionnaires minoritaires de Maroc Telecom, ce qui pourrait lui permettre à terme de détenir plus que les 53% offerts par Vivendi, a souligné Etisalat.
De son côté, l'opérateur du Qatar Ooredoo a indiqué que l'offre avait été approuvée “avec effet immédiat”. Et de préciser que les financements nécessaires au rachat avaient été assurés auprès d'un consortium de dix banques (jusqu'à 9,1 milliards d'euros).