Conseils pour la création de votre entreprise - CRI CASABLANCA

Qu'elle naisse de l'expérience, du savoir-faire, de la créativité ou d'un simple concours de circonstance, l'idée prend souvent la forme d'une intuition ou d'un désir qui s'approfondit et mature avec le temps.Il n'y a pas de bonnes idées en soi, mais seulement des idées qui peuvent être opportunément développées par les personnes qui les ont conçues et d'autres qui resteront de simples velléités.


L'appréciation du bien-fondé d'une idée est donc inséparable du projet personnel de celui ou celle qui l'exprime.

Il existe une grande variété de formes d'idées : plus l'idée est nouvelle, plus il faudra s'interroger sur la capacité des futurs clients à l'accepter ; plus elle est banale, plus il conviendra de s'interroger sur sa réelle utilité par rapport à l'offre déjà existante sur le marché.

A ce stade, le la première chose à faire consiste à définir de manière très précise son idée et, si elle présente un caractère de nouveauté, prendre un certain nombre de précautions de manière à pouvoir prouver que l'on est bien à l'origine de cette idée.
Le projet personnel
Cette seconde étape doit permettre de vérifier le réalisme du projet, c'est à dire la cohérence entre :
- sa personnalité, ses motivations, ses objectifs, son savoir-faire, ses ressources et ses contraintes personnelles.
- et les contraintes propres au produit, au marché, aux moyens qu'il faut mettre en place, qui doivent s'avérer maîtrisables.

Pour  cela, il faut  recueillir  de  la documentation, des  avis et  conseils, analyser   les   contraintes   et   définir  les   grandes  lignes   de   son  projet.

Au terme de cette première approche, si des incompatibilités apparaissent entre les exigences du projet et sa situation personnelle, un certain nombre d'actions correctrices doivent être engagées : modifier ou différer son projet, se former ou encore rechercher des partenaires.
L'étude de marché
C'est un élément essentiel de la préparation du projet car sans clientèle, il n'y a pas d'entreprise possible !
En effet une " super idée " peut devenir un mauvais projet, faute de clients. Par contre une " idée banale ", mise en œuvre dans un certain contexte, peut s'avérer très lucrative.

La réalisation d'une étude de marché permet :
- de définir avec précision quelle sera sa clientèle,
- de se positionner face à la concurrence,
- et ainsi d'adapter son produit ou son service en fonction des éléments recueillis.
Par ailleurs, l'analyse des attentes de la clientèle, combinée à l'analyse de la concurrence  permet :- de définir un niveau de prix acceptable par ses futurs clients
- de déterminer et chiffrer les premières actions commerciales qui seront nécessaires pour capter sa clientèle,
- de fixer un ordre de grandeur de chiffre d'affaires prévisionnel.
Les prévisions financières
Cette étape consiste à traduire, en termes financiers, tous les éléments réunis et à vérifier la viabilité du projet.

L'établissement des comptes prévisionnels permet de répondre à trois questions essentielles :
- Quels sont les capitaux nécessaires pour lancer le projet puis faire vivre l'entreprise ?
- L'activité prévisionnelle de l'entreprise est-elle susceptible de sécréter un montant de recettes suffisant pour couvrir les charges entraînées par les moyens humains, matériels et financiers mis en œuvre ?
- Les recettes encaissées par l'entreprise tout au long de l'année lui permettront-elles de faire face en permanence aux dépenses de la même période ?

Cette démarche conduit à la construction d'un projet cohérent et viable, chaque option prise trouvant sa traduction financière et sa répercussion sur les équilibres financiers.

Si le déséquilibre est trop important, le projet doit être remanié et sa structure financière adaptée en conséquence.
Trouver des financements
Le financement correct d'un projet est une des conditions de réussite du projet. Il convient de réunir suffisamment de capitaux pour que tous les besoins durables de l'entreprise soient financés intégralement par des ressources financières adaptées à la durée de ces besoins.

Après avoir effectué le recensement de ces besoins et des ressources financières disponibles, il sera nécessaire de rechercher une ou plusieurs solutions pour les capitaux manquants.

L'appui d'un organisme ayant une parfaite connaissance des outils de financements existants - prêts personnels, prêts à l'entreprise, capital risque, comptes-courants, crédit-bail, etc. - est indispensable à ce stade.
Les aides
Il existe un certain nombre de dispositifs d'aide à la création d'entreprise qu'il convient de connaître.
Se   renseigner   suffisamment   tôt  sur  ces  dispositifs permet d'être en mesure de  déposer des     demandes dans les délais impartis.

Attention cependant, l'obtention d'une aide ne doit pas être de nature à conditionner le lancement de l'entreprise.
Choisir un statut juridique
Quelle que soit l'importance et la nature de l'activité envisagée, le choix d'une structure juridique adaptée au projet doit être effectué : entreprise individuelle ou société ?

La structure juridique correspond au cadre légal dans lequel va être exercée l'activité.  Ce choix doit être étudié minutieusement, avec l'aide d'un professionnel, car il entraîne un certain nombre de conséquences sur le statut, tant au niveau patrimonial que social et fiscal. Il peut également engager l'avenir de l'entreprise.

Il est recommandé de ne pas partir avec une idée préconçue, mais de se pencher sur les différents statuts afin d'en analyser les avantages et les inconvénients par rapport au projet et à sa situation personnelle.

Les formalités de création
Après avoir achevé l'élaboration du projet sur le plan commercial, financier et juridique, on est en mesure d'effectuer les formalités imposées par la nature de l'activité et/ou la structure juridique choisie.
Installer l'entreprise
A ce stade, le premier objectif doit être de concrétiser les contacts pris avec la clientèle, tels que pressentis ou établis lors de l'élaboration du projet, de façon à :
- obtenir le plus rapidement possible ses premières commandes,
- organiser son outil de production en conséquence.

Il est par ailleurs indispensable d'observer un certain nombre de principes de gestion et de mettre en place des outils, appelés "indicateurs", qui permettront de contrôler la montée en régime de l'entreprise et ainsi d'éviter ou corriger des "dérapages".

Les premiers mois d'activité
Enfin, tout dirigeant d'entreprise est amené à prendre un certain nombre de décisions d'ordre fiscal, comptable et social.

Pour éviter de se laisser surprendre, pour être en mesure de dialoguer avec les administrations concernées et de procéder aux formalités qui s'imposent, il est indispensable de comprendre les principes de base qui régissent la fiscalité et la gestion des entreprises.

Source : Agence pour la Création d’Entreprises (APCE)- http://www.casainvest.ma/

Le roi veut "valoriser" le salaire minimum de l'ouvrier agricole

Le roi Mohammed VI a annoncé que le salaire minimum agricole (SMAG) serait "valorisé" au Maroc et a demandé que l'ouvrier agricole bénéficie de couverture et d'assistance médicales, mardi lors d'une rencontre sur l'agriculture à Meknès (centre).
Il faut "améliorer la situation des petits agriculteurs, par une valorisation de leurs salaires minimums", a déclaré le roi à l'ouverture des 4èmes Assises nationales de l'agriculture.
Le SMAG, qui correspond au salaire mensuel d'un ouvrier agricole, est fixé actuellement à 1500 dirhams par mois.
Dans son discours, le roi a également souhaité que "le monde rural et le petit agriculteur figurent en tête des bénéficiaires du système de couverture et d'assistance médicales".
Il faut "poursuivre les projets de désenclavement des régions éloignées ou difficiles, parallèlement aux infrastructures et aux services sociaux en milieu rural", ajoute le monarque.
Le Maroc "table cette année sur une production céréalière de 88 millions de quintaux", a par ailleurs indiqué le ministre de l'Agriculture Aziz Akhannouch, lors de ces Assises, qui se tiennent à la veille de l'ouverture à Meknès du Salon international de l'agriculture.
Le seuil des 70 millions de quintaux doit être franchi pour la troisième année consécutive, a précisé M. Akhannouch.
Un programme gouvernemental d'appui à l'agriculture solidaire touchant quelque 800.000 petits exploitants, soit environ 3 millions de ruraux, avait bénéficié en décembre 2010, d'une aide de l'Union européenne de 70 millions d'euros, afin d'accompagner, selon l'UE, la libéralisation des échanges agricoles.

AFP - http://www.aufaitmaroc.com/

L'APP : Des engagements de plus de 3 milliards de Dirhams en 2010 (rapport)

L'Agence du Partenariat pour le Progrès (APP) a réussi à atteindre, au terme de l'exercice 2010, un nouveau jalon dans la gestion du programme MCA-Maroc avec un total des engagements de 410 millions de dollars (près de 3,4 milliards de Dirhams), soit 59% du montant du Compact.
Le rapport annuel de l'APP publié récemment au terme de l'exercice 2010 indique également que les déboursements ont également atteint 104 millions dollars (près de 861,8 millions de Dirhams), soit 25% du budget engagé avec des avancées concrètes sur le terrain au niveau de chaque projet et activité.
Ainsi, pour le projet Arboriculture fruitière, la superficie plantée a atteint 16 000 ha sur les 62 000 ha prévu par le projet.
Les travaux d'infrastructure d'irrigation ont atteint un taux de l'ordre de 30% au niveau des périmètres de la première tranche (18 000 ha).
A travers le projet Pêche artisanale, la formation et l'organisation de 150 marchands ambulants à Oujda sur les 2. 000 prévus ont été réalisées et ces derniers ont été équipés de triporteurs munis de caissons isothermes.
Le projet a aussi adjugé quatre contrats de 13,7 millions de dollars (114 millions de Dirhams) en vue de la construction de 2 points de débarquement aménagés (Salé et Tifnit), des infrastructures dans le port de Tan-Tan et le marché de gros au poisson de Beni Mellal.
Quant au projet Artisanat et Médina de Fès, le lancement du Concours International d'Architecture pour la réhabilitation du site de la Place Lalla Ydouna de Fès et de ses alentours a attiré l'intérêt de plus de 176 propositions d'aménagement architectural qui ont fait l'objet d'un examen circonstancié par un jury d'architectes experts de renom, tant nationaux qu'internationaux.
Au niveau de l'activité Alphabétisation fonctionnelle et Formation professionnelle, les classes d'alphabétisation se poursuivent au profit de 5 100 bénéficiaires directs dans le secteur de l'artisanat, 2 124 dans celui de la pêche et 2 156 dans celui de l'agriculture dans 27 provinces.
La Formation professionnelle, qui appuie 15 établissements de formation professionnelle de l'artisanat a accueilli en octobre 2010, une première promotion de 540 stagiaires en formation résidentielle et a touché 115 personnes dont 34% de femmes lors des activités de formation des équipes de direction et pédagogique.
Quant au Programme d'élargissement de l'Accès aux Qualifications et Compétences (PEAQC) est un programme de subventions, doté d'un budget global de 4 millions de dollars (33,2 millions de Dirhams).
Les subventions, d'un montant de 50.000 à 200.000 de dollars (415 000 à 1,66 million de Dirhams) par projet, sont destinées uniquement aux organisations et aux entités à but non lucratif. Celles-ci sont appelées à présenter des propositions de projets qui répondent aux exigences et aux spécifications des appels à manifestation d'intérêt et des appels à projets qui seront lancés par l'APP.
Concernant le projet Services financiers, l'activité "Rating financier et/ou social" a été lancée en vue de promouvoir la transparence dans le secteur de la micro-finance.
L'année 2010 a marqué un nouvel élan pour le projet «Services Financiers" avec notamment l'achèvement de l'étude sur la transformation institutionnelle des AMC. La proposition de nouveaux textes de lois pour le secteur du Microcrédit, le déblocage de la troisième tranche de 6 millions de dollars (49,8 millions de Dirhams) en faveur de Jaïda et le lancement des projets "Rating Financier et social"et "Appui à l'implémentation des agences mobiles".
L'APP est un établissement public marocain, crée par Dahir (26 février 2008). Elle est chargée de la mise en oeuvre et de l'exécution du programme objet de l'accord "Millennium Challenge Compact", conclu le 31 août 2007entre les gouvernements du Maroc et des Etats-Unis d'Amérique, à travers la Millennium Challenge Corporation (MCC).
L'Agence est administrée par un Conseil d'Orientation stratégique présidé par le premier ministre et comprend les représentants de plusieurs départements, de la CGEM et d'associations.

MAP

Le France, invitée d'honneur du SIAM: Premier fournisseur et premier client du Maroc

Avec une production agricole de 61 milliards d’euros en 2009, la France, premier pays agricole de l'Union européenne, réalise 20% de la production des 27 pays de l'Union. Elle est l’un des grands producteurs et exportateurs agricoles et alimentaires de la planète.

La France, un des grands producteurs et exportateurs agricoles et alimentaires de la planète../DR

L’agriculture en France occupe aujourd’hui 32 millions d’hectares sur les 55 millions du territoire métropolitain. Elle participe également au développement de nombreux secteurs du tertiaire: transports, assurances et crédits, commerce, recherche, conseil et services aux entreprises.
Cependant, d’après les statistiques disponibles sur le site du ministère français de l'Agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire, la superficie agricole utilisée (SAU) diminue régulièrement depuis un demi-siècle.
Cette SAU se répartit comme suit: terres arables (63%), superficies toujours en herbe (34%) et cultures permanentes (3%). Il faut noter que les grandes exploitations représentent l’essentiel des activités agricoles.
En 2007, 6% des exploitations professionnelles couvraient plus de 200 hectares et cultivaient 20% de la superficie agricole de ces exploitations qui comptaient 770.000 actifs permanents. D’abord fondée sur un soutien au développement de la production agricole et un accompagnement des adaptations structurelles du secteur, la politique en faveur du monde rural a progressivement été intégrée dans la politique globale d’aménagement du territoire. Elle prenait ainsi davantage en compte le développement économique local dans son ensemble.

Un des principaux pays producteurs de viande d’Europe

La France est l’un des principaux pays producteurs de viande d’Europe: premier rang pour la production bovine et de volailles, troisième rang pour la production ovine, quatrième rang pour la production porcine. En 2009, la valeur de toutes les productions animales a diminué, à l’exception de la production bovine. Le lait ne représente plus que 31% de la valeur des productions animales, légèrement dépassé par la production de viande bovine (gros bovins et veaux) avec 32%.

Productions végétales: céréales et vins principalement

Les céréales et le vin sont les principales productions agricoles françaises en valeur. L’ensemble des grandes cultures (céréales, oléagineux et protéagineux) constituent 28% des productions végétales françaises et la production des plantes fourragères est de 16%.
Les fruits et les légumes représentent chacun 8% de la valeur de la production végétale. Cependant, 2010 a été marquée par une sécheresse printanière qui a affecté les rendements de nombreuses cultures. Ainsi, les rendements de la quasi totalité des grandes cultures sont en retrait : céréales en baisse de 4q/ha par rapport à 2009, pour descendre à 71q/ha. Ceux des oléagineux suivent le mouvement de baisse de -3 q/ha et  pour s’établir à 30q/ha.

Légumes frais : bonne orientation des marchés

Toujours selon le ministère français de l’Agriculture, en 2010, la production de légumes frais a atteint 5,26 millions de tonnes, en légère hausse (+0,4%) par rapport à l’an passé, malgré le net recul des surfaces (-7,7%). Cependant, les indices des prix à la production ont été élevés.
Les intempéries en Europe et au Maroc en particulier ont limité les productions de plusieurs pays traditionnellement concurrents sur des légumes tels que la tomate, le melon, la courgette… Malgré des difficultés ponctuelles, l’équilibre entre offre et demande a été préservé, conclut le ministère.
Après les récoltes abondantes de fruits, notamment de fruits à noyau, en 2009, la production plus réduite de fruits de table de 2010 s’élèverait à 2,8 millions de tonnes, soit -7% par rapport à l’an passé: abricot (-34%), cerise (-17%), poire (-4%).

L’agroalimentaire: 2,9% du PIB français

Le poids de l’ensemble du secteur agroalimentaire dans le produit intérieur brut (PIB) était de 2,9% en 2009, contre 7% en 1980. Ce recul résultait d’une situation particulièrement mauvaise pour l’agriculture en 2009, avec des baisses respectives de 16% et 19% de la valeur ajoutée de l’agriculture et des industries agricoles et alimentaires (Iaa).
Ces baisses sont elles-mêmes à mettre en relation avec la diminution de la valeur de la production agricole entraînée par la chute des cours des principaux produits agricoles en 2009. À long terme, la baisse de la valeur ajoutée de l’agriculture est entièrement due à la dégradation des prix relatifs des produits agricoles.

Des échanges franco-marocains privilégiés

En  2009, 16% des échanges commerciaux du Maroc étaient réalisés avec la France, qui reste le premier client, le premier fournisseur, le premier bailleur de fonds et le premier investisseur étranger du pays, relève la Chambre Française de Commerce et d Industrie du Maroc, dans un communiqué de presse rendu public à l'occasion de la tenue de la 6ème édition du SIAM.
Ainsi, la France est le premier fournisseur du Maroc en céréales, assurant 73,5% des arrivages de blé tendre et 50,1% des arrivages d’orge pour l’année 2009-2010.
Les exportations marocaines vers la France étaient, quant à elles, composées de près de 25% de produits agroalimentaires en 2009. Il s’agit principalement de produits de la mer, produits maraîchers, horticoles, ou de pépinières.
En ce qui concerne les équipements, la France est le 3ème  fournisseur du Maroc en tracteurs (15 % de parts de marché) derrière l’Italie (29 %) et l’Espagne (16 %), et devant l’Allemagne (8 %), et le 1er fournisseur de machines agricoles sauf tracteurs.

http://www.aufaitmaroc.com/

L'indien "Mahindra & Mahindra" envisage d'implanter des usines d'assemblage de tracteurs au Maroc

Le constructeur indien de véhicules utilitaires "Mahindra & Mahindra" envisage d'implanter des usines d'assemblage de tracteurs agricoles dans plusieurs pays africains, y compris le Maroc, rapporte mardi le quotidien indien "The Economic Times".
Voulant renforcer davantage sa présence en Afrique, le constructeur vise des pays comme la Tunisie, l'Afrique du Sud, ou encore le Kenya.
"L'Afrique est un marché plein d'opportunités", a déclaré Pravin Shah, directeur exécutif de la société, ajoutant que l'entreprise, qui écoule 15% de son volume d'exportations en Afrique, prévoit de doubler ce chiffre d'ici un an.
"M&M" est présent aujourd'hui dans 24 pays africains. En 2007, le constructeur s'installe au Maroc pour la première fois au Maroc, via le marché automobile.

MAP

La nouvelle politique industrielle du Maroc "commence à donner ses fruits"

La nouvelle politique industrielle du Maroc, basée principalement sur des coûts de production très compétitifs, ainsi que des avantages logistiques et fiscaux "a commencé à donner ses fruits", souligne, dimanche, le journal "Diario de Mallorca".

Les ambitions du Royaume dans ce domaine commencent à devenir une réalité, étant donné que de nombreuses entreprises européennes ont opté pour le Maroc, explique le quotidien espagnol dans un article publié sur son site Internet.

La publication relève, à ce sujet, le choix fait par d'importantes entreprises étrangères de s'implanter dans les différents pôles industriels spécialisés créés autour du port de Tanger-Med.

Le journal met en exergue, dans le même contexte, le rôle du Pacte national pour l'émergence industrielle lancé en 2009, en tant qu'outil dédié à la promotion de ce secteur et des investissements étrangers.

Le Maroc est en train de construire son pôle industriel sur des coûts opérationnels compétitifs, une main d'oeuvre jeune, des avantages logistiques, fiscaux et administratifs, ainsi que des subventions importantes, souligne encore "Diario de Mallorca".

Le journal espagnol note l'importance, en outre, des accords de libre-échange signés par le Maroc avec les Etats-Unis et des pays européens et africains, ainsi que sa proximité géographique avec le continent européen.

MAP

Un groupe turc veut construire au Maroc une usine de traitement de charbon

Une délégation économique du secteur de l'industrie charbonnière turque, se rendra du 27 au 30 mars courant au Maroc pour prospecter le marché national et s'informer de près des opportunités d'investissement offertes par le Royaume dans ce domaine.

Cette visite s'inscrit dans le cadre des démarches préliminaires menées par le groupe turc ENISA-Energie dans la perspective de la construction au Maroc d'une usine de traitement de charbon au sein d'un port dédié, apprend-on auprès du conseiller économique de l'ambassade du Maroc en Turquie.

Composé de dirigeants du groupe turc ENISA, notamment le président de ENISA-Energie, la délégation devrait avoir des entretiens à Rabat avec des responsables du ministère de l'Equipement et des Transports et de celui de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement avant de se rendre à Casablanca où elle devrait rencontrer des responsables de l'Office national de l'Electricité (ONE) et de Jorf Lasfar.

Le groupe turc, qui possède plusieurs mines de charbon et des usines de traitement en Turquie et à l'étranger, notamment en Chine et en Afrique du Sud, compte faire du Maroc un hub pour la distribution du charbon dans le pourtour Méditerranéen, précise-t-on de même source.

Conduite par le président de ENISA-Energie, M. Nurol Saricicek, la délégation turque comprend également le directeur adjoint du groupe, M. Yavuz Tasdelen, le président de la compagnie Torbapak (logistique), M. Nurettin Aslan et le directeur général de la compagnie Aksoy Denizcilik (transport), M. Ufuk Aksoy.

MAP

Salon du Bio & du Bien être, du 15 au 19 juin à Casablanca

Le Salon du Bio & du Bien-être, en partenariat avec la chambre d’artisanat et la délégation régionale de l’artisanat vous ouvrira ses portes à l’espace vert de la chambre d’artisanat de Casablanca du 15 au 19 juin 2011.

L’événement se présente comme un espace privilégié d’échange, de partenariats et d’affaires: professionnels et particuliers seront ainsi réunis dans un cadre propice au dialogue.

Près de 50 exposants représentant différents secteurs: marché Bio, cosmétiques naturelles, environnement, mode, mobilier, éco-produits, éco-tourisme, jardin… seront présents pour valoriser le bio au Maroc. Conférences, ateliers débats, animations ponctueront les journées du 15 au 19 juin 2011.

Vivre en vert, allier saveurs et sécurité alimentaire, éthique et respect de l’environnement sont les mots d’ordre de la manifestation.

Contact: salon2bio@gmail.com

Communiqué

Hôtels Kenzi Cadres chics, ambiances élégantes et service hautement qualifié

Avis à tous les fins gourmets, les jet setteurs et autres fêtards, aux personnes en quête de détente ou qui ont besoin de se distraire après de longues semaines de travail, faites vous plaisir lors d’un week end à la fois urbain et naturel. Choisissez ou alliez lors d’un même séjour, les joies du shopping dans l’une des plus grandes villes du Maghreb avec un moment authentique et festif au pied des montagnes de l’Atlas, tout en vous régalant de succulents mets colorés concoctés par de grands chefs cuisiniers français.

Casablanca la citadine

La position exceptionnelle du Kenzi Tower Palace, logée dans la tour B des "twins" et située en plein centre du quartier des affaires de Casablanca, vous offrira une vue panoramique sur toute la Mégapole avec l’océan pour horizon. Mariant élégance et modernité, les 237 chambres et suites proposent un confort et un service de pointe.  A la carte, vous pourrez opter pour la brasserie du deuxième, pour un restaurant gastronomique au 27eme ou encore pour un snacking chic au 28 eme… étage!

Marrakech la rouge

Puis, suivez le soleil de Marrakech, au pied de l’Atlas marocain, face aux jardins royaux de l’Agdal, pour vivre un moment de détente et de festivité derrière les remparts du complexe Saka. Ici, vous n’avez que l’embarras du choix. L’hôtel Kenzi Menara Palace, construit dans un parc luxuriant de 5 Ha, vous procurera une sensation de calme et de volupté grâce à une architecture alliant modernité au style arabo-mauresque.

Vous avez également la possibilité de séjourner dans l’hôtel design du complexe. Le Crystal hôtel, composé de 10 suites offrant une vue exceptionnelle et un design sobre et réfléchi avec goût, plaira au plus fin esthète. Lit King size, salon séparé, terrasse privative, Room service 24/24, climatisation individuelle réversible… sauront vous apporter le confort et le bien être désirés. Et ce n’est pas tout, le complexe vous accompagnera jusqu’au bout de la nuit.

Optez pour le restaurant maroco-libanais à la cuisine orientale très raffinée. Vous y écouterez des chansons envoutantes  libanaises, marocaines et andalouses. Vous pourrez aussi dîner au Crystal Restaurant, de style art-déco colonial aux tonalités de blancs raffinés conçu entièrement par le designer Imad Rahmouni.

Vous vous plairez à apercevoir les cuisiniers au fond de la salle, préparant avec soin vos plats aux saveurs méditerranéennes. Dans ce complexe, le dîner ne sera que les prémices d’une nuit riche en festivité et en allégresse. Vous continuerez la soirée au bar lounge, le Rose Bar où vous pourrez profiter de la terrasse chauffée en hiver.

Un cadre chic, une ambiance élégante, un service hautement qualifié voilà tout ce que vous promet The Rose Bar. La musique du live band de Bruno Cheno vous y accompagnera. Votre enchantement se prolongera dans la plus grande boîte de nuit d’Afrique, le Pacha Club, où, à coup sûr, un DJ mondialement connu vous entrainera sur la piste de danse.

Parce que le complexe Saka pense toujours à vous satisfaire, le lendemain prélassez-vous dans un Bed au bord de la sublime piscine du Crystal pour y savourer un brunch vitaminé. Vous repartirez heureux et détendu.

Alliance Groupe Kenzi - Groupe Saka

Le groupe Kenzi, premier groupe hôtelier marocain, s’est introduit à hauteur de 20% dans le groupe Saka, leader dans le divertissement et le loisir à Marrakech. Ainsi, ce dernier prévoit pour les mois futurs d’importantes restructurations dans les pôles commerciaux, opérationnels et ressources. Pour ce fait, il a fait appel au célèbre cabinet JADH, expert dans les métiers de l’hôtellerie et des loisirs.

aufait

Autoroutes du Maroc réalise un taux de satisfaction de 85% chez les usagers en 2010

Autoroutes du Maroc (ADM) a réalisé en 2010 un taux de satisfaction de 85 pc chez ses usagers, selon une enquête menée par un cabinet spécialisé.

L'enquête effectuée auprès d'un échantillon de 2.175 usagers fait ressortir, à l'image des années précédentes, un niveau de satisfaction globale de 85 pc avec une amélioration pour la part des usagers déclarant être pleinement satisfaits, indique un communiqué d'ADM.

Lors de cette enquête, plusieurs thèmes sont évalués notamment la sécurité de la circulation, l'état de l'autoroute, l'information et la signalisation, les conditions de circulation, le passage au droit des gares de péage et la qualité des prestations sur les aires de services, précise la même source.

Les résultats mettent ainsi en exergue un niveau de satisfaction élevé vis-à-vis du passage au péage (97 pc), de l'état de l'autoroute (93 pc), des aires de repos et de services (88 pc), de l'information et de la signalisation (87 pc) et des conditions de circulation (84 pc).

Actuellement, ADM est inscrite dans une dynamique de développement du service à l'usager, souligne le document, ajoutant que le linéaire des autoroutes atteindra 1.417 kilomètres à mi-2011 avec la mise en service de l'autoroute Fès- Oujda, nécessitant ainsi la mise en place de prestations de service homogènes sur l'ensemble du réseau et l'instauration d'une veille sur la qualité de service rendue aux usagers.

MAP