lundi 27 décembre 2010

Business, Trade and Commerce in Morocco

The main industries in Morocco are phosphate rock mining and processing, food processing, leather goods, textiles, selling of arts and crafts, construction and tourism.

Importing and Exporting

Morocco’s main trade is importing and exporting. Although there are local arts and crafts found on every corner of the street, most of the locally produced arts and crafts are being exported to neighboring countries. However the quality of the arts and crafts has worsened over the centuries and has been corrupted by modern techniques and chemical dyes. Morocco’s principal legal exports are clothing, fish (notably sardines), phosphates, fruit and vegetables. Cannabis though illegal, is also an important export.

Ferrying

There is also a lucrative business in ferrying would-be immigrants across the Straits to Spain, with money made in these ways being invested in apartments and other speculative ventures.

Oil

Morocco has an extensive infrastructure to support active oil and gas exploration and a vibrant production industry. Major seaports, roadways, airports, pipelines and refineries are near large cities endowed with the usual European and North American style amenities. The downstream oil-industry of Morocco is well developed. The country has two oil refineries with a total refining capacity of 150,000 barrels per day.

Phosphate

The strongest point of Moroccan industry is phosphate mining. Morocco houses approximately 2/3 of the world's phosphate reserves, putting it in a higher league than major competitors China, Russia, and the United States. Although it employs only 2% of the population, phosphate mining is responsible for half of the nation's income.
In a nutshell the main industries in Morocco are phosphate rock mining and processing, food processing, leather goods, textiles, selling of arts and crafts, construction, and tourism. Morocco’s main trading partners are France and Spain. Inflation stands at around four percent and unemployment at around nineteen percent.

Morocco Business News

In a world context in full economic growth which lives under the law of the globalization of economy and international competitiveness, investment, be it national or foreign, is an essential action to face the requirements of the economic takeoff. In this context, Morocco has resolutely engaged, following the example of other emergent countries, in a policy which seeks to make foreign investment a strategic support of economic and social growth. Indeed, the authorities have strived to improve the attractiveness of the Kingdom through economic, institutional, legislative and statutory measures which are illustrated by:

- The adoption of an attractive tax framework relating to investment with, particularly, the coming into force of the provisions of the charter of investment.
In addition to the adoption of a conventional system allowing important investors to sign investment conventions or contracts with the state in order to profit from particular advantages;

- An overhaul of the institutional investment environment, based on a better decentralized distribution of tasks and roles: on the one hand, Regional Investment Centers (RICs) in order to assist and support investors in the sixteen regions of the Kingdom; On the other hand, at the national level, the Committee of Investments instituted in October 1998, under the presidency of the Prime Minister.

Morocco has also carried out several structural reforms during the last years which resulted in the stability of its macro-economic framework, the consolidation of the opening of its economy to the international environment and the signature of several association and free trade agreements.

Five arguments plead for investing in Morocco:
1. - A great political and institutional stability based on a continuous process of democratization;
2. – An institutional support and attractive legal framework;
3. - A policy of structural reforms and liberalization of the economy;
4. - An educated population benefiting from a very satisfactory technical training;
5. - Geographical proximity to Europe.

lundi 22 novembre 2010

Comment s'implanter au Maroc ?

 A qui s'adresse ce guide ?
Ce guide s'adresse à tous les porteurs de projets : créateurs d'entreprises, investisseurs potentiels, repreneurs d'entreprises, bref, tous ceux qui ont pour vocation de réaliser des affaires économiques au Maroc
Il a pour objectif de les informer sur les dispositifs d'appui qui existent en faveur des entrepreneurs, et les structures administratives et privées qui peuvent les accompagner dans le cadre de la mise en 'uvre de leur projet.
Il a été réalisé en étroite collaboration avec le Conseiller Economique de l'Ambassade du Maroc à Paris.
Pour un promoteur quel qu'il soit (national ou étranger), rien n'est plus difficile que la recherche d'informations. Ce guide se propose de l'y aider.

Quelle protection pour vos salariés ?
La législation du travail mise en place par les partenaires sociaux se structure selon le cadre juridique suivant :
  •    Contrat de travail
  •    Salaires
  •    Médecine du travail
  •    Congés
  •    Repos hebdomadaire, jours fériés
  •    Licenciement
  •   Sécurité Sociale
  •   Accidents du travail et maladies professionnelles
  •   L'inspection du travail

lundi 8 novembre 2010

Où trouver de l'aide pour créer son entreprise : Avis de Sabah Chraibi, Présidente de l'ESPOD

Nous mettons l'accent sur la mutualisation des compétences des candidats.

La Vie éco : Les porteurs de projets sont-ils suffisamment sensibilisés sur les mécanismes d’aide à la création d’entreprise ?
Sabah Chraïbi : Aujourd’hui, je pense que beaucoup de jeunes arrivent à bien s’informer sur les mécanismes d’aide. Malheureusement, ces moyens doivent être davantage vulgarisés à travers les médias, surtout l’audiovisuel. Aujourd’hui  encore, la sensibilisation se fait très souvent par le bouche-à-oreille. Nous-mêmes, nous travaillons encore de cette manière avec beaucoup d’associations pour accompagner les candidats dans leur développement.

Selon vous, le financement constitue-t-il toujours la principale problématique pour la création ?
Oui. Aujourd’hui, il existe des lignes spécialisées pour les PME, mais c’est encore insuffisant. Il faut militer pour leur multiplication pour qu’une large population puisse en bénéficier, surtout les Très petites entreprises (TPE). 
Quand on lance des programmes comme Moukawalati et que la banque ne suit pas, le projet peut vite tomber à l’eau, surtout lorsqu’on démarre avec des emprunts qu’on est obligé de rembourser juste après.
Aujourd’hui, certaines banques ont compris l’intérêt de soutenir les petits porteurs de projets qui constituent un réel marché porteur. On doit également penser aux incitations fiscales pour les TPE et à impliquer davantage les instances de proximité, notamment les communes. Pour les grandes villes, le problème ne se pose pas, mais dans les petites localités, il faut qu’on repense aux rôles des communes dans le développement économique.

En tant qu’association, quel est votre apport à tout porteur de projet ?
Nous intervenons principalement dans le monde rural, les zones défavorisées en général, en combinant des actions pédagogiques et de sensibilisation et des actions concrètes de réalisation en termes de création d’activités génératrices de revenus et d’emplois. Il n’y a pas de critère précis pour bénéficier de l’accompagnement.
Il suffit d’être ambitieux et d’avoir la volonté d’entreprendre.
Nous focalisons également les efforts sur la mutualisation des compétences en poussant plusieurs candidats sur les mêmes projets. Par exemple, pour des périodes précises, nous conseillons certains candidats à mettre en place des structures de soutien scolaire. En mutualisant leurs compétences, ils arrivent à s’en sortir. 













Brahim Habriche
La Vie éco :26-07-2010

mardi 2 novembre 2010

Spécial France


Liens Utiles pour la création d'entreprise en France               

Agence pour la création d'entreprises                                                                                          www.apce.com  
                                                                                                                                                    
http://emploi.france5.fr/emploi/creation-entreprise                 


Portail des chambre de commerce et d'industrie de France                               rwww.cci.fr

lundi 25 octobre 2010

Pourquoi créer mon entreprise ? - Avis d'expert-

                                                                


Contrairement à ce que l'on pense et ce que répondent en premier de nombreux créateurs, on ne crée pas seulement son entreprise pour gagner plus.

En fait, il y a bien des raisons pour créer son activité. Et le "gagner plus" se résume même souvent à "ne pas perdre" ou "gagner la même chose".

Quelles sont ces raisons ? Pourquoi créer son entreprise ?

En fait, les raisons sont multiples et peuvent même se cumuler. Bien entendu, chacune de ces raisons a son pendant. Et où certains voient des verres à moitié pleins, d'autres en voient des à moitié vides. Comme certains peuvent voir liberté ou d'autres voient manque de sécurité.

Les raisons ne peuvent donc qu'être propres à chacun et il est important de déterminer lesquelles.

Pourquoi ? Parce qu'il faut déterminer l'ensemble des éléments qui poussent à créer avant d'engager un projet, de l'abandonner ou de changer d'orientation. Si aujourd'hui ou demain vous gagnez un peu moins que prévu, la situation est plus risquée ou la routine au rendez-vous, peut-être n'est-ce pas suffisant pour renoncer à votre idée ? Peut-être que ce qui vous pousse va plus loin que ce qu'il reste après avoir tout payé en fin d'année.

Ci-après voici certaines raisons classées pour plus de clarté...

Finances :
  • gagner plus d'argent (une fois cité, n'y revenons plus),
  • conserver ses revenus, son niveau de vie (suite à perte d'emploi ou départ à la retraite),
  • pour obtenir un emploi plus intéressant (certains partenaires préfèrent des sous-traitants à des salariés), ...


Légalité :
  • continuer un contrat (exemple : 2 contrats de travail qui dépassent 48h par semaine, pour conserver le second il faut être indépendant),
  • légaliser une activité secondaire, ...


Sécurité :
  • pour protéger une idée et l'exploiter,
  • pour avoir une couverture d'assurance (légalisation d'une activité pré-existante ou protection d'une activité semi-bénévole), ...


Indépendance :
  • être son propre patron,
  • organiser son travail,
  • Faire uniquement son travail et pas d'autres choses demandées par un patron (par exemple, vendre d'autres services ou faire des choses qui ne correspondent pas à son expérience), ...


Qualité de vie :
  • recherche d'un emploi du temps à la carte, pour si on le désire prendre du repos tout en continuant à cotiser aux organismes sociaux (pas de perte d'année validée pour la retraite),
  • choisir des missions moins lourdes pour profiter de la vie tout en gagnant ce qui est nécessaire pour vivre (mais sans se ruiner la santé), ...


Aventure :
  • désir d'aventure,
  • s'adonner à une passion,
  • relever un challenge, ...


Réussite personnelle :
  • obtenir un statut (par exemple, un juriste d'entreprise qui dispose du diplôme d'avocat décide pour quelques années de s'inscrire comme avocat avant ou après la liquidation de sa retraite),
  • obtenir la reconnaissance de ses pairs, de ses clients en devenant un gourou sur une niche technologique,
  • avoir une reconnaissance de son expérience (par exemple, choisir ses missions pour obtenir un diplôme en VAE - Validation des Acquis de l'Expérience -),
  • avoir une petite activité pendant sa retraite (même déficitaire), ...


Prévoir :
  • cotiser auprès de qui l'on désire pour sa retraite ou sa prévoyance, 
  • faire des économies,...>


Bref, il y a des centaines de raisons.
Peut-être n'ais-je même pas cité toutes celles qui vous ont décidées à créer...
                                                                                                                                 Henry Marc GRYNBERG - 

Expert comptable diplômé