vendredi 29 novembre 2013

Maroc : Wendel entre au capital de Saham

Jeudi, 28 Novembre 2013 18:11 
PAR 
FRÉDÉRIC MAURY 
http://economie.jeuneafrique.com
Wendel injecte 100 millions d'euros dans le capital du groupe Saham et prend 13,33% du capital. Le holding français d'investissement signe ainsi sa deuxième opération en Afrique.
Wendel poursuit sa stratégie d’investissement en Afrique : le holding d'investissement français, qui a déjà pris une participation importante dans la compagnie de gestion de tours de télécommunications IHS, a annoncé le 28 novembre son entrée au capital du groupe panafricain Saham, dont le siège est au Maroc et qui est contrôlé par Moulay Hafid Elalamy, homme d'affaires et, depuis le 10 octobre dernier, ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Economie numérique.
Wendel investira, dans un premier temps, 100 millions d’euros en échange de 13,33% du capital de Saham. Ces fonds, qui viennent s'ajouter à 250 millions de dollars levés l'année dernière auprès de l'IFC et du capital-investisseur Abraaj, permettront au groupe marocain d'accélére son expansion en Afrique et au Moyen-Orient.
Assurances, santé, immobilier...
En 2012, le chiffre d'affaires de Saham s'est élevé à 882 millions de dollars pour 6000 salariés. Via sa filiale Saham Finances, le groupe marocain est le numéro un de l'assurance en Afrique (hors Afrique du Sud). Il est ainsi présent, principalement dans l’assurance non-vie, dans 19 pays d’Afrique et du Moyen-Orient au travers de 26 compagnies. Saham détient également 40% de Phone Group, un pionnier des centres d'appels au Maroc, et est également actif dans la santé et l'immobilier. Dans la santé, Saham travaille avec Asisa, un leader espagnol dans l’assurance santé et les centres de soins, afin de concevoir une offre de services unique dans le domaine des centres de diagnostics en Afrique. Le groupe ambitionne également de développer un réseau international de cliniques. Enfin, Saham opère dans l'immobilier avec, selon un communiqué diffusé par Wendel, "des projets de développement dans l’immobilier résidentiel et social au Maroc et en Côte d’Ivoire.
Maître des Forges
"Nous sommes particulièrement fiers que Wendel s’associe à un entrepreneur de la qualité de Moulay Hafid Elalamy qui, en une quinzaine d’années, a construit avec succès un groupe panafricain performant. Je suis convaincu de la pertinence du projet développé par Saham qui vise à tirer partie des synergies entre l’assurance, principal métier du groupe, et les secteurs de la santé, de l’immobilier et des services aux entreprises", a expliqué dans un communiqué Frédéric Lemoine, Président du Directoire de Wendel.
Né en Lorraine en 1704, Wendel s'est développé pendant près de trois siècles dans la sidérurgie, avant d'être obligé de repenser son métier avec la crise du secteur en France dans les années 1970. Devenu investisseur en capital, le groupe privilégie des participations majoritaires de longue durée, comprises entre 200 millions et 500 millions d'euros, dans des sociétés de préférence non cotées et actives en Europe. En 2011, il a lancé Oranje-Nassau Développement afin d'investir des montants plus faibles sans limite géographique. C'est via ce véhicule qu'il investit en Afrique.

L’Association des femmes chefs d’entreprise ouvre un incubateur à Tanger

L’ambassade du Royaume des Pays-Bas et l’Association des femmes chefs d’entreprise du Maroc (AFEM) viennent de signer un partenariat pour la mise en place de l’incubateur de la délégation régionale de l’AFEM à Tanger.

L’ambassade du Royaume des Pays-Bas et l’Association des femmes chefs d’entreprise du Maroc (AFEM) viennent de signer un partenariat pour la mise en place de l’incubateur de la délégation régionale de l’AFEM à Tanger, dont l’objectif est de participer au développement économique à travers la création de richesses et d’emplois. Cette convention consacre la volonté des deux parties d’accompagner les porteuses de projets en mettant à leur disposition un cadre de travail adéquat,  des experts de qualité et un encadrement technique et logistique rigoureux pour concrétiser leurs projets et créer des start-up en phase avec le dynamisme que connaît la région de Tanger. L’enveloppe budgétaire estimée de ce programme est de 3 MDH.
Faciliter la création de projets  
Les porteuses de projets bénéficieront, entre autres, d’un réseau de femmes chefs d’entreprise représenté par les membres de l’AFEM, d’une assistance juridique, commerciale et de gestion pour mener à bien leurs projets et faciliter les premières étapes de la création d’entreprise, de l’hébergement pendant 18 mois dans les locaux de l’incubateur avec accès gratuit aux outils de communication et à tous les services offerts : bureau, téléphone, internet, plateforme logistique commune... Des formations génériques et spécifiques leur seront aussi proposées. Dans le même sens, elles auront la possibilité d’avoir des contacts directs avec des marraines et des mentors leur permettant d’aiguiser leurs capacités managériales et d’accélérer la mise sur le marché de leurs produits.

La Vie éco
www.lavieeco.com

France : Maroc entrepreneurs organise sa 7e édition de la journée de la création d’entreprise

 Publié le 27.11.2013 à 18h56 | Par 
http://www.yabiladi.com

Maroc entrepreneurs tiendra la septième édition de la journée de la création d’entreprise en guise de clôture de son programme « Tremplin Maroc », le samedi 30 novembre à l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris (ESCP). Selon un communiqué, cette journée, placée sous le thème de la « colocalisation », est destinée à tous ceux qui souhaitent venir créer leur boîte au Maroc.
C’est également l’occasion de présenter les opportunités d’investissement au Maroc, de partager le retour d’expériences d’entrepreneurs confirmés et de rencontrer les acteurs de la création d’entreprises dans le royaume.
Le concours « Tremplin Maroc » recueille des projets ambitieux qui mettent en avant un Maroc moderne et tourné vers l’avenir. Cet événement rassemblera à la fois entrepreneurs en herbe ou confirmés, de nombreux acteurs de la société civile, et enfin de hauts dignitaires politiques et institutionnels qui partageront leur expérience et leur savoir.

Plusieurs personnalités seront présentes, notamment l’ambassadeur du Maroc en France, Chakib Benmoussa ainsi que le directeur général de l’Institut de Prospective Economique du Monde Méditerranéen (IPEMED), Jean Louis Guigou.

lundi 6 mai 2013

Le Canada fait la "promo" de son pétrole issu des sables bitumineux

Le ministre canadien des ressources naturelles est, jusqu'au 11 mai, en visite à Paris, Bruxelles et Londres. L'Union européenne s'apprête à adopter une directive, qui vise à réduire l'empreinte carbone des carburants fossiles utilisés dans le transport.

http://www.lemonde.fr

mardi 30 avril 2013

L'assistant personnel de Google vient rivaliser avec Siri sur l'iPhone

Dernière mise à jour : 

Google a annoncé lundi le lancement de son assistant personnel Google Now sous forme d'application mobile pour l'iPhone et l'iPad d'Apple, mettant ainsi la pression sur Siri, l'assistant conçu par le groupe à la pomme.
"Aujourd'hui, avec le lancement de Google Now sur iPhone et iPad, votre smartphone va devenir encore plus intelligent", assure le géant de l'internet dans un message publié sur un de ses blogs officiels.
Google Now est, comme Siri, un programme activé par la voix. Il est désormais disponible sous forme d'une application compatible avec iOS, le système d'exploitation mobile utilisé par Apple pour ses téléphones et ses tablettes.
Google et Apple sont actuellement à couteaux tirés sur le marché des appareils mobiles. Android, le système d'exploitation conçu par Google et utilisé par une série de fabricants dont Samsung, domine désormais clairement le marché des smartphones. Dans les tablettes, l'iPad reste numéro un mais Android gagne rapidement des parts de marché.
Google fait valoir parallèlement que Siri menace potentiellement son activité centrale de recherche sur internet, et les importantes recettes publicitaires qui vont avec, en permettant aux utilisateurs de smartphones de faire des recherches sans passer par Google Search.

La Chine détrône les Etats-Unis comme premier marché mondial des PC

Dernière mise à jour : 

La Chine a pour la première fois détrôné les Etats-Unis l'an dernier comme premier marché mondial des ordinateurs de bureau (PC), plébiscités par la population des zones rurales, selon une étude lundi du cabinet de recherche IHS iSuppli.
Les ventes de PC ont représenté 69 millions d'unités en Chine en 2012, contre seulement 66 millions aux Etats-Unis la même année.
Contrairement à d'autres pays du monde où les ventes d'ordinateurs de bureau sont tombées derrière celles de modèles portables, la demande en Chine reste également répartie entre les deux catégories (50% chacune).
"Le pourcentage relativement élevé des ventes de PC de bureau en Chine est dû à l'énorme demande dans les régions rurales du pays, qui représente une part majeure des 1,34 milliard d'habitants du pays", a commenté Peter Lin, un analyste d'IHS. "Ces consommateurs ont tendance à préférer l'ordinateur de bureau".
IHS prédit toutefois que l'équilibre devrait se modifier dans les prochaines années, grâce à l'émergence d'ordinateurs portables moins chers, et que le marché chinois devrait s'aligner sur la répartition moyenne de 36% d'ordinateurs de bureau pour 64% d'ordinateurs portables.
En outre, "comme dans le reste du monde, la demande (de PC) en Chine reste faible alors que les consommateurs migrent vers des appareils mobiles comme les téléphones portables", note IHS. Le marché devrait quand même croître de 3% à 4% cette année.
Le marché mondial des PC traverse une grave crise, plombé par l'environnement économique mais surtout l'essor des engins mobiles capables de se connecter à internet, comme les smartphones et surtout les tablettes. Les ventes mondiales d'ordinateurs ont plongé de plus de 10% au premier trimestre.

Vivendi examinera “deux offres de reprise engageantes”

Dernière mise à jour : 

Le conglomérat français Vivendi a annoncé mercredi soir son intention d'examiner “deux offres de reprise engageantes” pour sa filiale Maroc Telecom. Une manière de démontrer à ses actionnaires sa volonté affichée depuis l'automne de se recentrer sur les médias.
Selon une source proche du dossier, Vivendi espère tirer entre 4 et 5 milliards d'euros de la vente de ses 53% dans le principal opérateur marocain. Deux opérateurs du Golfe guignent cette participation majoritaire: l'émirati Etisalat et le qatari Ooredoo (ex-Qtel).
Dans un communiqué laconique diffusé mercredi soir, Vivendi s'est gardé d'identifier les deux repreneurs, promettant juste d'“examiner” leurs propositions “dans les prochaines semaines, dans le meilleur intérêt des actionnaires de Vivendi et de sa filiale Maroc Telecom”.
Etisalat et Ooredoo (ex-QTel), dont les noms circulaient depuis les premières rumeurs de cession l'an dernier, avaient auparavant eux-mêmes confirmé le dépôt effectif d'“offres fermes”.
La réglementation en vigueur au Maroc imposera au repreneur de lancer une offre publique d'achat sur les actionnaires minoritaires de Maroc Telecom, ce qui pourrait lui permettre à terme de détenir plus que les 53% offerts par Vivendi, a souligné Etisalat.
De son côté, l'opérateur du Qatar Ooredoo a indiqué que l'offre avait été approuvée “avec effet immédiat”. Et de préciser que les financements nécessaires au rachat avaient été assurés auprès d'un consortium de dix banques (jusqu'à 9,1 milliards d'euros).

Amara pour un Maroc porte d'entrée de l'Afrique et du Maghreb

Dernière mise à jour : 

Les opportunités à saisir et les moyens à mettre en œuvre pour une meilleure coopération ont été au centre d'une rencontre à Ottawa entre le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara et le Secrétaire parlementaire du ministre canadien du Commerce international, Gerald Keddy.
“Nous avons besoin d'une collaboration intelligente gagnant-gagnant entre nos entreprises respectives pour mieux se positionner sur d'autres marchés, notamment africain”, a déclaré M. Amara.
Le ministre a également souligné que le Maroc se présente comme un relais de croissance et une porte d'accès aux marchés de l'Afrique subsaharienne et du Maghreb, où le Maroc s'est installé à travers ses trois premières banques (BCP, Attijariwafa bank et BMCE) et ses assurances.
“Nous travaillons sur l'intégration régionale par conviction de sa pertinence et de son importance. Le Maroc est le premier pays dans sa région en termes d'ouverture économique, notamment à travers les 55 pays avec lesquels nous avons signé des ALE (accord de libre échange).”
ABDELKADER AMARA, MINISTRE DE L'INDUSTRIE, DU COMMERCE ET DES NOUVELLES 
TECHNOLOGIES.

De son côté, le secrétaire parlementaire du ministre du Commerce international, pour l'Agence de promotion économique du Canada atlantique et pour la porte d'entrée de l'Atlantique, Gerald Keddy, a estimé que le Canada considère le Maroc comme “porte d'entrée pour l'Afrique”. Il s'est accordé avec M. Amara sur l'importance pour les PME canadiennes de profiter des atouts et avantages offerts par le Royaume.
Et de citer pour exemple la confiance que témoignent les industriels canadiens au Maroc, dont le Groupe Bombardier spécialisé en aéronautique, un secteur dans lequel les PME canadiennes montrent une dynamique particulière puisqu'elles fournissent environ 75% des pièces aux intégrateurs et avionneurs.
Rappelons qu'Abdelkader Amara s'est rendu au Canada pour inaugurer les pavillons du Maroc au sein des deux manifestations de renommée mondiale : Aéromart Montréal (23-25 avril) et SIAL Canada 2013 (30 avril-2 mai), à Toronto.


vendredi 26 avril 2013

Comment trouver une idée de business ?

La création et le développement d’une entreprise est un long parcours qui commence par un élément qui parait simple mais s’avère complexe, l’idée ! Des idées arrivent à tout moment, mais parmi ces idées, il faut savoir distinguer les bonnes. En suivant les conseils présentés dans cet article, vous aurez plus de facilité à déceler votre prochaine grande idée.

Concentrez-vous sur vos centres d’intérêt :
Tout d’abord, il faudrait vous focaliser sur vous-même. En effet, faites un point sur vos centres d’intérêt, sur ce qui vous passionne au quotidien. Cela permettra de définir ce qui vous intéresse le plus pour identifier les domaines à favoriser dans votre recherche d’idées. En effet, pour être entrepreneur, il vaut mieux être passionné, ce qui accentuera votre détermination à réussir, face aux obstacles que vous rencontrerez.
De plus, la passion pour votre métier vous permettra de chercher à toujours améliorer votre produit en apportant des innovations, tandis que vos concurrents vous regarderont pour vous copier, et non l’inverse.

Soyez à l’écoute :
L’insatisfaction constante de l’Homme nécessite d’innover, pour toujours faire mieux. Votre entourage personnel et professionnel vous expose surement des problèmes qu’ils rencontrent parfois, lors de l’utilisation de produits ou services. Ce sont ces problèmes qui pourraient vous donner des idées pour satisfaire leur attente. Soyez donc à l’écoute de votre proche et de votre environnement.

Un marché que vous maitrisez, c’est mieux !
Favorisez les domaines que vous comprenez clairement. Les besoins des consommateurs comme les offres proposées par vos futurs concurrents doivent être analysées pour déceler les avantages et les inconvénients. Grâce à votre analyse, vous pourrez déterminer votre offre et la valeur ajoutée réellement apportée par rapport à eux.

Définir une équipe compétente :
Une fois l’idée trouvée, vous devrez la réaliser, il vous faut donc une équipe compétente pour développer au mieux ce que vous rêvez de vendre. Faites le point sur les compétences nécessaires pour assurer le développement et la commercialisation de votre projet. Idéalement, vous devrez apporter vos compétences et compléter celles qui vous manquent par le recrutement d’associés (NDLR: ou de partenaires, ou de prestataires externes…)
Cependant, trouver un associé compétent et en accord avec votre stratégie est complexe. Vous pouvez participer à des évènements pour entrepreneurs pour vous faciliter la tâche et rencontrer d’autres personnes en recherche d’associés. Déléguez également les tâches contraignantes, comme la comptabilité et l’administratif, à des partenaires comme un cabinet d’expertise comptable. Cela vous permettra de vous concentrer sur vos missions les plus importantes.
Ne négligez pas cette phase qui définira la qualité de votre offre. Si une compétence primordiale est manquante, votre produit risque de ne pas être suffisamment abouti pour contrer vos concurrents, puisque si un marché existe, vous aurez forcement des concurrents, tôt ou tard !

Mettez en place une veille active :
Un marché évolue constamment, que ce soit les tendances de consommation comme les technologies. Se tenir informé des évolutions d’un marché permet d’être plus réactif et d’anticiper les futures offres de vos concurrents. La presse, la télévision, les blogs spécialisés sont de très bons moyens pour effectuer une veille régulière.
La France est un petit pays à l’échelle du monde, sortez de nos frontières pour augmenter vos chances de dénicher une belle opportunité. De nombreux pays sont plus développés que la France dans des domaines très variés, comme les Etats-Unis avec les concepts de services web.
Pourquoi ne pas suivre ce qui se passe aux Etats-Unis pour exploiter un concept encore inexistant en France, alors qu’il pourrait faire fureur ?

Cet article a été rédigé par Marc de Zordo de MonPetitBiz.fr, le magazine dédié aux idées innovantes et tendances à travers le monde.



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Invitez un entrepreneur au restaurant pour ses conseils et son expertise


Quand on souhaite créer son entreprise, il faut savoir bien s’entourer et idéalement avoir les conseils d’un mentor. Pourquoi ne pas faire confiance à quelqu’un qui a déjà expérimenté l’entreprenariat et qui est intéressé pour jouer le rôle de conseiller et de mentor gratuitement ?
dejeuner_entrepreneur
Est-ce que le coût d’un déjeuner convivial ne vaut pas largement les conseils avisés d’un entrepreneur motivé pour partager son expérience de terrain, vous donner son avis sur votre business plan et votre projet d’entreprise d’une manière générale ? Un chef d’entreprise saura mieux que quiconque vous indiquer les problèmes que vous risquez de rencontrer comme lui, mais aussi vous donner des astuces et des conseils pratiques qui pourront bien souvent vous faire gagner du temps dans vos démarches. Son vécu sera en tout cas certainement plus concret et plus efficace que les informations théoriques des conseillers de telle ou telle agence gouvernementale…
Le site L’addition Est Pour Moi a donc eu l’idée de mettre en relation de jeunes (ou moins jeunes) entrepreneurs ou experts dans certains domaines, et des personnes désireuses de les inviter au restaurant en échange de conseils pratiques dans le domaine de l’entreprenariat ou toute autre expertise dans laquelle vous auriez besoin d’avis et d’informations de terrain.
Voici quelques exemples de profils qui pourraient vous être utile :
  • Un attaché de presse qui pourrait partager des astuces pour convaincre des journalistes de parler de votre entreprise
  • Un business angel qui saura vous guider pour lever des fonds
  • Un spécialiste des fusion et acquisitions d’entreprise qui pourra vous aider à préparer la vente de votre entreprise
  • Un expert du marketing sur les réseaux sociaux qui pourra vous donner des idées pour développer la visibilité de votre marque sur Internet
  • Un expert du SEO qui vous offrira des astuces pour préparer la stratégie de référencement de votre boutique e-commerce
  • Un entrepreneur qui aime la bonne bouffe et ne cherche qu’à se faire inviter pour faire des économies (humour…)
  • Un responsable de plusieurs sites e-commerce qui cherche à partager sa vision du marché
  • etc…
Le site L’addition Est Pour Moi est très simple à utiliser et vous permet bien entendu de trouver des entrepreneurs ou des experts dans votre ville ou votre région !
Dernier point important : c’est aussi une opportunité fabuleuse de commencer à tisser votre propre réseau professionnel qui pourra s’agrandir rapidement si vous sympatisez avec votre mentor…


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18 facteurs de réussite et d’échec pour entreprendre



Créer sa petite entreprise est désormais à la portée de tout le monde grâce à la mise en place du statut auto entrepreneur. La démarche de l’inscription en auto entrepreneur se fait en effet gratuitement en 5 minutes sur Internet.
Mais cela est la théorie et la partie facile car le succès ou l’échec de votre entreprise dépend d’autres facteurs beaucoup plus importants que VOUS devez maîtriser ou apprendre à maîtriser : c’est vous le capitaine du navire et c’est à vous de faire en sorte qu’il navigue dans les meilleures conditions et en évitant les tempêtes, les icebergs et autres dangers qui pourraient littéralement couler votre entreprise !
Premièrement il faut que vous preniez le temps de comprendre quels sont vos droits, vos devoirs et vos obligations en tant qu’ auto entrepreneur car la démarche de l’inscription n’est que le tout début des démarches administratives qui vous attendent.
Mais un bon chef d’entreprise sait aussi qu’il doit adopter une attitude positive et ouverte tant vis à vis de ses clients, que de ses collaborateurs ou partenaires.
Un bon capitaine (de navire ou d’entreprise) doit aussi maîtriser les cartes et les meilleures routes pour atteindre ses objectifs (ligne de conduite, objectifs et plans pour les atteindre).
Comme les grands explorateurs, un chef d’entreprise ne doit pas craindre l’inconnu et doit toujours rester alerte, prêt à apprendre, à s’adapter aux évènements inattendus  saisir les opportunités, découvrir, accepter ses erreurs et en tirer des leçons utiles pour l’avenir.
Je vous propose une liste de 18 facteurs clés pour le succès de votre carrière d’entrepreneur, mais aussi leurs opposés qui mènent à l’échec, histoire de bien identifier quand on fait fausse route…
Panneaux réussite et échec
18 facteurs de succès pour réussir sa vie professionnelle et personnelle :
  1. Avoir une ligne de conduite
  2. Avoir une liste de projets à réaliser
  3. Définir ses objetifs et développer des plans pour les atteindre
  4. Apprendre à partager et à collaborer par plaisir
  5. Partager ses informations et données
  6. Pardonner aux autres
  7. Apprendre à se montrer patient et compréhensif
  8. Avoir le sens de la gratitude
  9. Complimenter
  10. Accorder du crédit aux autres
  11. Vouloir la réussite des autres
  12. Parler de ses idées
  13. Tenir un journal
  14. Ne pas cesser d’apprendre
  15. Accepter la responsabilité de ses échecs
  16. Identifier chaque jours les petites choses qui nous ont rendu heureux
  17. Faire en sorte d’être content d’avoir passer une journée utile
  18. Accompagner le changement

18 facteurs qui mènent à l’échec :
  1. Ne pas avoir de but défini
  2. Ne pas savoir ce que l’on veut
  3. Improviser
  4. Agir par intérêt
  5. Garder les informations pour soi
  6. Etre rancunier
  7. Montrer sa colère
  8. Croire que ce qu’on obtient est un dû
  9. Critiquer
  10. Faire siennes les réussites des autres
  11. Espérer secrètement les échecs des autres
  12. Parler des autres et les envier
  13. Dire que l’on tient un journal et ne pas le faire
  14. Penser que l’on sait tout sur tout
  15. Blâmer les autres pour leurs erreurs
  16. Se plaindre en permanence
  17. Regarder la télé tous les jours
  18. Fuir le changement






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10 conseils pour faire votre étude de marché Lire la suite sur: http://autoentrepreneurinfo.com/10-conseils-pour-faire-votre-etude-de-marche#ixzz2RZx99qXI

Avez-vous déjà fait ou fait faire une étude de marché pour valider votre projet de création d’entreprise ?
Cette étape permet de prendre du recul et d’oublier vos idées préconçues en posant les questions qui valideront ou invalideront ce que vous croyez être un produit ou un service utile, un prix correct et compétitif, etc…
Si vous êtes déjà en activité, c’est aussi une opportunité pour booster votre entreprise en affinant votre stratégie, en trouvant de nouvelles idées, un nouveau marché, etc…
Bref, quelque soit l’avancement de votre projet ou de votre entreprise, ne négligez pas l’outil précieux qu’est l’étude de marché !


Lire la suite sur: http://autoentrepreneurinfo.com/10-conseils-pour-faire-votre-etude-de-marche#ixzz2RZxBvPJp
1) L’enthousiasme de l’entrepreneuriat ne doit pas vous faire oublier la réalité du terrain :
  • est-ce que votre idée de produit ou de service intéresse réellement des personnes ou êtes vous le ou la seul(e) à avoir besoin de ce concept ?
  • est-ce que votre idée est vraiment utile ou est-ce que vos clients potentiel ont déjà une alternative plus simple et/ou moins cher pour solutionner le problème auquel vous pensez ?
  • êtes-vous vraiment le premier ou le/la seul(e) à avoir eu cette idée géniale ou y-a-t-il déjà des concurrents sur le marché ?
  • quel est réellement le profil de votre client type ? Avez-vous réellement bien ciblé vos prospects ou devez-vous plutôt centrer vos efforts sur une autre tranche d’âge, de sexe ou de profil ?
  • vos prospects sont-ils prêts à payer un prix qui vous permettra de réaliser un vrai bénéfice ou est-ce
Trop souvent, on se laisse éblouir par l’idée qu’on croit géniale car elle correspond à notre propre vécu, à une problématique qu’on a nous même rencontré, au plaisir que le produit ou le service nous procurerait… Mais on peut aussi être l’exception parmi le public, et dans ce cas créer une entreprise sur cette seule base c’est aller droit dans le mur !

2) Faites bien la différence entre questions ouvertes, questions fermées et QCM :
qcm_etude_de_marche
L’objectif des questions n’est pas toujours le même. Il est important de bien identifier votre propre objectif en fonction du type de question et de leur formulation :
  • une question fermée (oui/non ou QCM) vous permet de valider un concept, une idée, un prix, une liste d’options auxquelles vous pensez.
  • une question ouverte vous permet de recueillir des idées et d’ouvrir votre horizon.
Rappelez-vous de votre objectif lorsque vous posez une question : quel type de réponse attendez-vous pour cette question.
Vous pouvez tout à fait avoir 2 questions similaires dans votre étude de marché, mais avec dans un cas une question qui a pour objectif de valider ce que vous pensez, et dans l’autre l’objectif de recueillir des avis plus larges.

3) L’étude de marché peut vous révéler des détails intéressants qui vous permettront de proposer un produit ou un service particulièrement rentable et attractif par rapport à la concurrence établie :
Un cas typique de créateur d’entreprise est celui du porteur de projet qui travaille depuis déjà des années dans le même secteur et qui est persuadé qu’il connait bien les clients, les produits ou services, ainsi que les gammes de prix pratiquées. Mais comment vous différencier si vous copiez directement ce que vous connaissez déjà ?
Et êtes-vous certain que vous partirez avec les mêmes conditions d’achat et de frais de fonctionnement que la concurrence ? Vouloir casser les prix est très souvent une mauvaise stratégie car si vos concurrents ont fixé un certain niveau de prix c’est qu »il y a une bonne raison. Une erreur courante chez les jeunes créateurs d’entreprise est de vouloir diminuer la marge pour gagner de la clientèle face à la concurrence, sans prendre en compte tous les coûts de fonctionnement, les charges sociales, taxes et impôts à payer. Mais dans le domaine de la vente il faut faire une marge importante pour être rentable.
L’étude de marché peut vous permettre d’identifier certains produits très particuliers, ou des axes d’amélioration sur des produits ou services existants et qui pourraient vous permettre de vous distinguer sans pour autant vous battre sur les prix ! C’est cette stratégie qui est le plus généralement gagnante : identifier le petit plus auquel vos futurs clients aspirent et qui vous permettra de maintenir un prix et une marge élevée.
Cela peut se matérialiser sous différentes formes :
  • des caractéristiques de votre produit qui parlent à une clientèle cible (bio, équitable, fait main, respectant la tradition, etc…)
  • la localisation (fabriqué en France, produit dans votre région, etcà
  • un service en plus par rapport à la concurrence (service à domicile plutôt qu’en boutique, livraison sur le lieu de travail, livraison avec un appel préalable pour être certain de pouvoir recevoir le paquet, un sms pour prévenir le client, etc…)
  • un produit ou un service plus simple et/ou plus rapide que la concurrence (on pense souvent qu’il faut en faire plus, mais parfois les clients attendent de la simplicité…)
Ces petits plus peuvent être identifiés en posant des questions spécifiques lors de votre étude de marché :
  • Qu’est-ce qui vous simplifierait la vie en matière de…
  • Si vous aviez une baguette magique, comment changeriez-vous…
  • Comment amélioreriez-vous le service …
  • Qu’est-ce qui vous ferait choisir un concurrent mis à part le prix ?
  • etc…
Attention à toujours garder des questions ouvertes sur cette catégorie de questions car votre objectif est de recueillir des idées, et pas d’imposer les vôtres !

4) Donnez l’opportunité aux bavards de vous raconter tout ce qu’ils veulent (ou presque) :
Pensez à laisser de la place pour les commentaires car certains sondés aiment raconter leur propre expérience, leurs propres idées, voir même à faire un travail de veille concurrentielle pour vous…
Il serait dommage de ne pas en profiter… donc laisser la place pour ce type d’informations libres (ou au minimum ajoutez des questions libres dans ce sens).
Si vous faites un sondage dans la rue, il faudra bien sûr canaliser un peu plus les bavards qui auraient tendance à monopoliser votre temps. Préparez-vous à cette situation en gardant toujours en tête votre objectif de sondage pour une étude de marché : le moment venu vous pourrez recadrer ces bavards en leur demandant ce que cette expérience (en faisant référence à ce qu’ils vous racontent) pourrait être un plus pour le développement d’un produit ou service comme le votre.

5) Commencez par des questions ouvertes pour récolter des idées sur le terrain sans mettre de barrières psychologiques :
On aurait plutôt tendance à commencer son étude de marché par des questions fermées pour valider sa propre idée. Mais le danger en commençant par des questions fermées est de mettre les personnes sondées dans son propre état d’esprit et d’orienter leur vision du marché selon sa propre vision…
En commençant par des questions ouvertes, vous laissez libre court à l’imagination des personnes sondées ce qui permet de recueillir leurs idées, leur expérience.

6) Pensez à obtenir des validations via des questions fermées et des QCM :
valider_une_ideeAu niveau de la validation de votre projet, utilisez au moins quelques questions fermées pour canaliser les réponses (oui/non et QCM) et identifier si vous faites fausse route ou si votre concept part dans la bonne direction.
Si vous ne faites que recueillir les idées et l’expérience d’autres personnes, vous n’aurez l’esprit que plus embrouillé qu’au départ et vous vous poserez vous même encore plus de questions sur votre projet.
Il est donc impératif de valider vos propres idées, vos interrogations par des questions fermées. Idéalement, il faut prévoir un enchaînement de questions ouvertes puis fermées qui vous permettent de cerner avec plus de précision les choix que vous devrez mettre en oeuvre par la suite. Vous ne pourrez bien entendu pas tout prévoir, mais au moins vous aurez les idées plus claires que si vous restiez uniquement sur des questions ouvertes.

7) Rendez votre étude de marché ludique et attractive pour inciter les sondés à y participer :
entreprise ludiqueIl n’y a rien de plus ennuyeux que de répondre à un sondage… alors pourquoi ne pas y mettre une touche ludique et attractive ?
Cela peut passer par une accroche amusante sur la base d’une anecdote de départ ! N’hésitez pas à parler de ce qui vous incite personnellement à vouloir vous lancer dans ce projet par exemple.
Comme pour un article de blog, si vous faites un questionnaire, utilisez des illustrations qui mettent en valeur les questions ou les concepts clés.
Ne soyez pas monolithique, répartissez vos questions en différentes catégories et en distinguant chaque groupe de questions par une illustration, une petite anecdote ou même une courte vidéo si vous faites votre étude de marché sur Internet ! D’ailleurs, pourquoi ne pas poser vos questions en vidéo et récolter les réponses dans un formulaire concomitant ?
Enfin, n’hésitez pas à dérouter un peu vos interlocuteurs avec des questions un peu décalées et déroutantes…

8) Préparez votre étude de marché par une séance de brainstorming :
brainstorming en entrepriseVous allez devoir préparer sérieusement votre questionnaire, mais commencez par poser toutes les questions qui vous passent par la tête, même les plus farfelues !
Faites cette séance de brainstorming sans vous fixer de limites et en prenant note de tout ce qui vous passe par la tête.
L’organisation et le classement de ces questions pourra être faite plus tard et vous éliminerez certainement des questions à ce moment là… mais pas pour commencer !

9) Mettez-vous dans la tête de vos futurs clients ou prospects :
Mettez-vous dans la peau de vos clients et commencez à prendre en note toutes les questions qui vous viennent sur votre propre produit ou service :
  • Est-ce un produit ou un service dont j’ai vraiment besoin ou est-ce plutôt un achat plaisir ? (cela peut vous permettre d’orienter votre communication plus tard)
  • Le prix est-il bien raisonnable par rapport à mon propre besoin, à la solution ou au plaisir procuré ?
  • Suis-je prêt à payer ce prix ou y-a-t-il des solutions alternatives ? (là on se heurte à la notion de revenus de vos clients… et donc aux catégories sociaux-économiques… il devient difficile de pouvoir répondre pour tous les profils)
  • Puis-je trouver moins cher ailleurs ?
  • etc…
10) Listez les catégories de questions et organisez votre étude de marché de manière logique :
Dressez une liste des grands thèmes que vous souhaitez couvrir dans votre étude de marché :
  • les prix
  • la concurrence
  • l’intérêt ou le besoin réel pour de tels produits ou services
  • la valeur ajoutée ou le bénéfice apporté par votre proposition
  • etc…
Sur base de ces grands thèmes, classez toutes les idées et questions que vous avez récoltées et rédigées jusqu’à présent et structurez le déroulement de votre questionnaire de manière à le rendre logique et fluide.


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jeudi 25 avril 2013

Vivendi examinera “deux offres de reprise engageantes”

Dernière mise à jour : 

Le conglomérat français Vivendi a annoncé mercredi soir son intention d'examiner “deux offres de reprise engageantes” pour sa filiale Maroc Telecom. Une manière de démontrer à ses actionnaires sa volonté affichée depuis l'automne de se recentrer sur les médias.
Selon une source proche du dossier, Vivendi espère tirer entre 4 et 5 milliards d'euros de la vente de ses 53% dans le principal opérateur marocain. Deux opérateurs du Golfe guignent cette participation majoritaire: l'émirati Etisalat et le qatari Ooredoo (ex-Qtel).
Dans un communiqué laconique diffusé mercredi soir, Vivendi s'est gardé d'identifier les deux repreneurs, promettant juste d'“examiner” leurs propositions “dans les prochaines semaines, dans le meilleur intérêt des actionnaires de Vivendi et de sa filiale Maroc Telecom”.
Etisalat et Ooredoo (ex-QTel), dont les noms circulaient depuis les premières rumeurs de cession l'an dernier, avaient auparavant eux-mêmes confirmé le dépôt effectif d'“offres fermes”.
La réglementation en vigueur au Maroc imposera au repreneur de lancer une offre publique d'achat sur les actionnaires minoritaires de Maroc Telecom, ce qui pourrait lui permettre à terme de détenir plus que les 53% offerts par Vivendi, a souligné Etisalat.
De son côté, l'opérateur du Qatar Ooredoo a indiqué que l'offre avait été approuvée “avec effet immédiat”. Et de préciser que les financements nécessaires au rachat avaient été assurés auprès d'un consortium de dix banques (jusqu'à 9,1 milliards d'euros).

mardi 26 février 2013

Bill Clinton, invité de l'UIC 
Les défis des marchés émergents dans l'économie mondiale

Dernière mise à jour : 

Bill Clinton, 42e président des États-Unis, était dimanche l’invité de l’Université internationale de Casablanca (UIC), pour évoquer les défis des marchés émergents dans l’économie mondiale. L'occasion pour l'ex-locataire de la Maison-Blanche de rappeler les principaux défis du monde d'aujourd'hui et de livrer aux étudiants ses recommandations.

C'est devant une salle comble que le 42e président américain Bill Clinton, invité pour animer une conférence organisée par l'Université Internationale de Casablanca (UIC) sous le thème “Les défis des marchés émergents dans l'économie mondiale”, s'est adressé ce dimanche aux étudiants et enseignants de l'UIC, réunis en même temps que plusieurs personnalités dans la salle de conférence de l’hôtel Hyatt de Casablanca.
Prenant la parole, le président de l'UIC Antonio Maceda a tout d'abord rappelé les axes fondateurs de l'université avant d'annoncer le président Clinton, chancelier d’honneur de Laureate International Universities dont fait partie l’UIC.
“Nous sommes très fiers que notre université contribue à développer un nouveau modèle universitaire au Maroc. La situation géographique du Royaume, son ouverture sur la Méditerranée, l’Atlantique, l’Europe, l’Afrique et son histoire, ont toujours fait du Maroc une terre d’échanges. Conçue dans le respect de l’éthique, de la culture et des valeurs marocaines, notre université est construite autour de 4 axes: l’ouverture à l’international, l’excellence académique, l’engagement pour l’employabilité et l’expérience estudiantine aux standards internationaux.”
ANTONIO MACEDA, PRÉSIDENT DE L'UIC.
La responsabilité sociale, la promotion des jeunes leaders et le renforcement de l'accès à l'enseignement supérieur ont été des sujets phares de l'intervention de Bill Clinton.
Un monde interdépendant
Le président Clinton a d'abord souligné l'ouverture qui prévaut dans le monde d'aujourd'hui, de plus en plus globalisé, complexe, interdépendant, avec les avantages et les inconvénients que cela comporte.
“Quand je suis devenu président, il ya 20 ans, en 1992, le téléphone mobile pesait plus de 2 kilos et il n’y avait que 50 sites Internet. Le développement de ces technologies, et notamment d’Internet, permet aujourd’hui d’avoir plus d’opportunités pour apprendre ou pour créer. Mais on peut aussi y apprendre comment fabriquer une bombe. Le monde est devenu aussi très préoccupé par les problèmes de sécurité.”
LE PRÉSIDENT BILL CLINTON.
Pour M.Clinton, tous nos futurs sont connectés entre eux et il faut tenir compte de cette donnée essentielle pour développer son modèle économique et prendre des décisions sociétales permettant de partager l'avenir avec tout le monde.
Clinton salue les avancées démocratiques du Maroc
C'est dans des termes très chaleureux que Bill Clinton a parlé de sa sympathie, et de celle de sa famille, pour notre pays ainsi que de ses relations avec feu le roi Hassan II et le roi Mohammed VI. Selon Clinton, le Maroc s'est résolument engagé dans le développement de la démocratie tout en invitant la société civile à participer fortement.
“Churchill disait que la démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes.”
LE PRÉSIDENT BILL CLINTON.
Parlant de l'engagement nécessaire dans le futur de tout modèle économique, l'ex-locataire de la Maison-Blanche a mis l'accent sur la nécessité de préparer le partage des richesses, des responsabilités et de manière générale d'un avenir commun.
Prenez l’exemple du Maroc. Que signifie le fait que depuis deux ans le Maroc a pu étendre l’électrification à 95% de sa population? Que signifie la baisse de la pauvreté dans le pays? Que signifie la restauration et l’inauguration d’une synagogue il y a deux semaines par le Maroc, un pays musulman?... Pensez à tout cela et vous comprendrez que le pays est en train de prendre des décisions pour un futur commun avec une meilleure répartition des richesses et une responsabilité commune.”
LE PRÉSIDENT BILL CLINTON.
Action et engagement
Les échecs sont moins graves que ne rien faire, a soutenu le président Clinton qui a souligné l'importance de l'initiative privée et de l'éducation des jeunes pour réduire les disparités sociales et le fossé qui se creuse entre les pays pauvres et les pays développés.
Pour Clinton le plus important n'est pas de savoir combien d'argent il faut dépenser; il faut surtout définir ce qui doit être fait et commencer à le faire.
S'adressant aux étudiants de l'UIC, Clinton leur a affirmé avoir confiance dans l'avenir, arguant que les nouvelles technologies et l'ouverture du monde vont apporter beaucoup plus d'opportunités pour les nouvelles générations.
Les défis qui se posent aujourd'hui sont de trois sortes, a-t-il considéré:
• Il faut donner une bonne éducation
• Il faut trouver le moyen de sortir de la crise actuelle et de donner un travail digne aux populations
• Il faut trouver les moyens de créer la croissance économique sans détruire la planète.
Clôturant cet évènement, la rectrice de l'UIC a remercié le président Clinton pour son intervention.
“Pour nos étudiants, monsieur le président, vous êtes un modèle d'engagement dans l'action et le leadership en vue de bâtir un meilleur monde.”
NEZHA ALAMI, RECTRICE DE L´UNIVERSITÉ INTERNATIONALE DE CASABLANCA.
L'université internationale de Casablanca
L’UIC a été créée par la SOMED en partenariat avec Laureate International Universities, un réseau de 65 universités ayant une communauté de 750.000 étudiants dans 29 pays.
Actuellement installée dans des locaux provisoires, l'UIC construit son campus à Casa Green Town de Bouskoura dont l'ouverture est prévue pour 2014.
L’UIC offre un programme académique pluridisciplinaire comprenant une faculté des sciences de la santé, une faculté de commerce et gestion, une école d’ingénierie et une école de management hôtelier.
SOMED
Fondé en 1982, SOMED est un holding privé à capitaux maroco-émiratis, œuvrant au développement économique et social du Maroc à travers la réalisation d’investissements créateurs d’emplois et de valeur ajoutée.
Le groupe est organisé en domaines d’activités stratégiques -hôtellerie, immobilier, industrie et négoce, éducation, agroalimentaire et pêche. Le groupe gère également des participations financières.
aufaitmaroc.com
Guichet unique pour les opérateurs de l'OCI 
“Un pas important dans le sens de la facilitation du commerce régional”

Dernière mise à jour : 

Des représentants des Etats membres de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) et des experts se réunissent depuis ce lundi et pour deux jours à Casablanca. Ordre du jour de la réunion: “La facilitation du commerce et l'initiative de guichet unique pour renforcer la coopération économique régionale entre les pays islamiques”.

“La création d'un guichet unique pour les opérateurs économiques de l'OCI (Organisation de la conférence islamique) est un pas important dans le sens de la facilitation et du renforcement du commerce régional”, a fait savoir lundi à Casablanca Abdelkader Amara, ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies.
“La réunion en un seul guichet, de tous les services administratifs, douaniers et de changes participera à accélérer la réalisation des objectifs de l'OCI dans leurs volets économiques notamment celui d'atteindre en 2015 le seuil de 20% d'échanges inter-régionaux”, a-t-il précisé. Le ministre intervenait à l'ouverture d'un colloque portant sur “La facilitation du commerce et l'initiative de guichet unique pour renforcer la coopération économique régionale entre les pays islamiques”.
Le Maroc a pris les devants
L'échange des données et des informations par voie électronique est à même de renforcer la compétitivité et d'engendrer un gain de temps contrairement aux procédures administratives traditionnelles, a-t-il noté. M. Amara a rappelé que le Maroc s'est inscrit dans ce processus depuis les années 1990, et a mis en place en 2000 un premier système de traitement électronique des données au port de Casablanca.
Il a également cité le plan national de facilitation des procédures relatives au commerce extérieur, la création du portail “PorNet” pour le traitement des procédures relatives au transport maritime.
18%
De son côté, le président exécutif de la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC,) Waleed Abdulmuhsen Al Wohaib, a rappelé que malgré la crise, le commerce inter-régional a atteint 18% grâce aux efforts déployés.
Il a également noté que sur le volet du financement du commerce et des exportations, il a été enregistré une évolution de 10 à 12% dans le monde alors qu'au sein de l'OCI ce financement a progressé de 40%.
Echanger les points de vue et les expériences pour la mise en place d'un programme régional de facilitation du commerce et la création d'un guichet unique est l'objectif de cette rencontre de deux jours, qui réunit les représentants des Etats membres, des organisations internationales, des opérateurs impliqués dans le commerce extérieur et autres experts.
aufaitmaroc.com

vendredi 18 janvier 2013

Publicité sur mobile : un marché d'à peine 1 MDH en 2012, mais un avenir prometteur

Les premières campagnes publicitaires sur applications mobiles ont débarqué fin 2012. Une dizaine d'entreprises marocaines ont déjà communiqué via la m-pub. Les plus actifs sont les opérateurs télécoms, les banques et les assurances.

En utilisant les applications installées sur votre smartphone, qu’elles soient marocaines ou étrangères, vous avez certainement remarqué des publicités émanant d’annonceurs marocains. Ce moyen de publicité, appelé «m-pub», décolle à peine au Maroc mais déjà son avenir semble prometteur. «L’utilisation des smartphones est de plus en plus importante et les éditeurs ont pris conscience de l’intérêt d’avoir des applications mobiles. Cela crée un nouveau vecteur de communication pour les annonceurs», résume ainsi Sophia Assad Skalli, directrice associée de Pub Online. Au Maroc toutefois, les annonceurs semblent pris de court. Entre l’Internet et les réseaux sociaux, la palette de supports marketing s’est élargie rapidement, au point qu’il faudra un temps d’adaptation aux annonceurs. Mais ce temps pourrait bien être court. «Les annonceurs s’intéressent aux internautes. Ces derniers ont déjà largement basculé sur le mobile pour surfer sur le web et utiliser les applications mobiles qu’ils ont téléchargées. Le marché publicitaire n’exploite pas encore suffisamment ce changement mais ça ne saurait tarder dans les mois à venir», confirme Sophia Assad Skalli. La tendance s’accélère déjà. «En 2012, le marché de la publicité sur applications mobiles a avoisiné le million de DH. Cela ne représente pas grand-chose car ce marché est trop jeune mais l’intérêt est grandissant. La majorité des campagnes m-pub ont été réalisées sur le dernier trimestre 2012 et ont donné d’excellents résultats», nous confie la responsable.

Un coût plus élevé mais un meilleur rendement

Une dizaine d’annonceurs marocains ont déjà utilisé la m-pub. A l’image de la publicité sur Internet, ou e-pub, les entreprises les plus actives en matière de m-pub sont les opérateurs télécoms, les banques et les assurances. «La m-pub intéresse l’ensemble des annonceurs. Nous avons dernièrement réalisé des campagnes m-pub pour un distributeur de soda, des centres de formations, un annonceur high-tech et d’autres encore», indique-t-on chez Pub Online. A noter que cette dernière propose de la publicité mobile depuis 2007. «Tous nos clients veulent communiquer via le mobile. Il nous faut donc répondre aux besoins exprimés par les annonceurs», explique pour sa part Mohamed Benboubker, DG en charge du développement de Mobiblanc, développeur d’applications mobiles au Maroc. Après avoir développé une vingtaine d’applications mobiles pour ses clients, Mobiblanc s’apprête à lancer dans les prochains jours une régie publicitaire dédiée au mobile. Elle sera d’abord dédiée aux clients de Mobiblanc avant d’être ouverte à tous les annonceurs qui le souhaitent.

Encore très peu d’opérateurs au Maroc

«Grâce à nos applications, nous avons une large audience que nous pouvons par conséquent faire valoir auprès des annonceurs», commente M. Benboubker. Et d’ajouter : «Fondamentalement, la publicité sur mobile est plus pertinente et plus valorisante. L’annonceur peut en effet communiquer de façon plus qualitative que quantitative».

Même constat auprès de Mme Assad. «La communication digitale offre d’énormes avantages aux annonceurs tels que la mesure de l’efficacité de la publicité en ligne», explique-t-elle. Une fois la publicité mise en ligne, l’annonceur peut facilement connaître toutes les infos sur les personnes ayant cliqué sur ladite publicité. «Grâce à des outils comme Google Analytics, on peut savoir quelles pages du site ont été visitées, combien de temps le mobinaute y est resté, s’il a acheté quelque chose, dans quel pays et quelle ville il se trouve...», nous dit-elle.

Ces avantages font que la publicité sur applications mobiles coûte légèrement plus cher que la publicité sur Internet. «La m-pub s’achète et se vend selon les mêmes principes que l’e-pub, soit par milliers d’impressions et/ou par clics. Le coût varie beaucoup selon les supports et le mode d’achat», explique Mme Assad. Il n’empêche que la publicité digitale de manière globale demeure moins chère que les annonces presse par exemple. «Si l’on prend l’exemple des sites Internet de presse, vous pouvez avoir une présence d’un mois sur leur site avec une bonne visibilité pour le prix d’un seul passage sur une page papier», commente Mme Assad. Aujourd’hui, environ une dizaine de régies web existent au Maroc. Toutefois, les sociétés qui disposent d’une réelle expertise en la matière se comptent sur les doigts d’une main. Il faut dire qu’une telle activité fait appel à des compétences technologiques comme le marketing pointu. Car le risque de tomber dans le non-respect de la vie privée des utilisateurs de smartphones peut être rapidement atteint par des non-spécialistes (voir encadré).

Publicité sur mobile : Des règles à respecter

Les régies publicitaires privilégient l’interstitiel, c’est-à-dire un écran qui apparaît à l’ouverture d’une page et se ferme automatiquement au bout de quelques secondes, contrairement à la bannière qui est plus intrusive et moins élégante. L’avantage de l’interstitiel est qu’il permet d’occuper l’ensemble de l’espace et permet donc à l’annonceur de communiquer de manière plus optimale. L’écran reste apparent le temps que la page mobile se charge, ce qui évite de déranger le mobinaute. «Nous pouvons vendre l’interstitiel plus facilement à l’annonceur», explique Mohamed Benboubker, DG en charge du développement chez Mobiblanc. «La taille importante de l’interstitiel offre de belles possibilités créatives et textuelles aux annonceurs», confirme pour sa part Sophia Assad de Pub Online. «L’ensemble des systèmes d’exploitation sont demandés. Les applications marocaines à forte audience sont en général uniquement sur iPhone. Les applications des autres systèmes d’exploitation sont attendues pour début 2013», indique Mme Assad. «C’est avant tout l’audience des supports qui est appréciée. La thématique de l’application ciblée sera ensuite choisie en fonction de la cible de l’annonceur. Les annonceurs sont en demande d’applications marocaines pour y afficher leur publicité mais les applications étrangères sont plus nombreuses et plus téléchargées. Nous manquons de contenu marocain sur mobile», explique Mme Assad.
Anne-Sophie Martin. La Vie éco
www.lavieeco.com
2013-01-17