mardi 26 juillet 2011

Capital de inversión: Viveris Gestión refuerza su presencia en el Mediterráneo

(Boursier.com) - Viveris Gestión anuncia el cierre con éxito AlterMed del Magreb, los fondos de compartimiento AlterMed de Marruecos.
El importe final de las suscripciones ascendieron a 25 millones de euros, lo que corresponde a la meta cuando fue diseñado en 2008.
La ronda incluye las instituciones financieras internacionales (Banco Europeo de Inversiones con el apoyo financiero de la Unión Europea, la Corporación Grupo del Banco Mundial), las instituciones financieras de Marruecos (Chaabi Equity Group Banque Centrale Populaire, la BNP PARIBAS BMCI, el Banco Attijariwafa, Credit Agricole Marruecos) y las instituciones financieras francesas (el grupo BPCE, Société Marseillaise de Crédit).
El fondo ha realizado dos inversiones del Magreb AlterMed hasta la fecha: una en Geomedia, el líder del mercado de la prensa libre en Marruecos y el otro Edicom, líder de Marruecos en las guías telefónicas. Varios proyectos de inversión, particularmente en las áreas de alimentación y la salud están siendo estudiados.AlterMed es el primer fondo de capital privado emitido por la Dirección de Viveris dedicada a las PYME en tres países del sur y el este del Mediterráneo (Marruecos, Túnez y Turquía) y su importe objetivo es de 75 ME. Se trata de un fondo de capital riesgo, que incluye tres compartimentos geográficos: el compartimiento de Marruecos "AlterMed del Magreb", el sub-tunecino "AlterMed APEF" y el compartimiento de turco "AlterMed Turquía" se está lanzando.
El propósito principal de FCPR AlterMed es apoyar el crecimiento del negocio mediante la inversión de capital a través del desarrollo y LBO y la creación de sinergias entre los diferentes mercados. "El fondo AlterMed es una de las respuestas necesarias en estos países de un salto en la inversión privada necesaria para el crecimiento económico y las instituciones financieras locales, convirtiéndose en suscriptores AlterMed, hemos seguido este camino. Los fondos son las políticas de iniciativas complementarias y estructurales de los países de la primavera después de la árabe, lleno de promesas, debe confirmar su utilidad. ", dijo Eric Schettini, Presidente de Gestión de Viveris.



L.V. - ©2011 www.boursier.com

Capital investissement : Viveris Management renforce sa présence sur le bassin méditerranéen


(Boursier.com) -- Viveris Management annonce la clôture avec succès d'AlterMed Maghreb, le compartiment marocain de son fonds AlterMed.
Le montant final des souscriptions s'élève à 25 Millions d'Euros, ce qui correspond à l'objectif fixé lors de sa conception en 2008.
Le tour de table comprend des institutions financières internationales (la Banque Européenne d'Investissement avec l'assistance financière de l'Union européenne, la SFI du groupe Banque Mondiale), des institutions financières marocaines (Chaabi Capital Investissement du groupe Banque Centrale Populaire, la BMCI du groupe BNP PARIBAS, Attijariwafa Bank, le Crédit Agricole du Maroc) et des institutions financières françaises (le groupe BPCE, la Société Marseillaise de Crédit).
Le fonds AlterMed Maghreb a réalisé deux investissements, à ce jour: l'un chez Geomedia, leader sur le marché de la presse gratuite marocaine et l'autre chez Edicom, leader marocain des annuaires téléphoniques. Plusieurs projets d'investissement, notamment dans les secteurs de l'agro-alimentaire et de la santé, sont en cours d'étude.
AlterMed est le 1er fonds de capital investissement émis par Viveris Management et dédié aux PME de trois pays du Sud et de l'Est de la Méditerranée (Maroc, Tunisie et Turquie); son montant cible est de 75 ME. C'est un FCPR qui comprend trois compartiments géographiques : le compartiment marocain " AlterMed Maghreb ", le compartiment tunisien " AlterMed APEF " et le compartiment turc " AlterMed Turkey " qui est en cours de levée.
La vocation première du FCPR AlterMed est d'accompagner la croissance des entreprises en investissant au travers d'opérations de capital développement et de LBO et en créant des synergies entre les différents marchés. " Le fonds AlterMed est l'une des réponses au besoin dans ces pays d'un saut de l'investissement privé, nécessaire facteur de croissance économique et les institutions financières locales, en devenant souscripteurs d'AlterMed, nous ont suivi dans cette voie. Les fonds sont des initiatives complémentaires aux politiques structurelles des pays et l'après-printemps arabe, plein de promesses, devrait confirmer leur utilité. " déclare Eric Schettini, Président de Viveris Management.
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Accord de coopération maroco-français pour développer des projets communs d'innovation


Accord de coopération maroco-français pour développer des projets communs d'innovation
L'accord a été conclu dans le cadre de la déclaration bilatérale du ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Ahmed Réda Chami et de son homologue français, Eric Besson, en visite de travail au Maroc.
Les deux clusters s'engagent, à cet effet, à créer un comité mixte chargé de définir un programme annuel de travail et d'arrêter les modalités de son exécution.
Ce comité aura comme mission également d'identifier les actions éligibles à un soutien financier, de formuler des avis et des recommandations destinés à développer la coopération dans le domaine des TIC et de définir les modalités de gouvernance des actions spécifiques.
Systematic Paris-Region et Maroc Numeric Cluster ont aussi convenu de valoriser les complémentarités et les synergies existantes entre les deux clusters à travers l'échange d'expertises en matière de gestion de pôles de compétitivité, de renforcer les liens universités-centres de recherche et entreprises et de promouvoir les échanges d'étudiants et de chercheurs entre universités et entreprises membres des deux clusters.
Signé par le président de Maroc Numeric Cluster, Mehdi Kettani et le président de Systematic-Paris-Region, Jean Luc Beylat, l'accord tend à mobiliser les PME des clusters concernés à participer à des projets de recherche-développement français et marocains et à encourager la réalisation d'opérations de partenariats entre les entreprises implantées sur les sites respectifs et prêtes à acquérir une visibilité en France et au Maroc.
Il s'agit, en outre, d'apporter une assistance à la définition et au montage d'initiatives structurantes marocaines impliquant des partenaires français sur des thématiques spécifiques à définir en commun et de participer réciproquement à des manifestations ou projets dans le domaine des TIC.
Les deux clusters s'engagent, à cet effet, à mettre en place une feuille de route commune définissant les technologies de pointe représentant un centre d'intérêt pour les deux parties, à déployer une expérimentation autour du très haut débit de 4ème génération afin de tester de nouveaux usages et services et à mettre en oeuvre des programmes de formation, d'assistance et de veille adaptés aux besoins des entreprises concernant les métiers du futur.
12/07/2011 14:31.
(MAP) Maghreb Arabe Presse

Quand les étudiants innovent

Trois projets d'étudiants universitaires ont été récompensés lors de la première édition de l'action «Création d'entreprise», organisée par l'Université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès. Il s'agit des projets : «la Ruche d'or» pour la production du miel naturel, la création d'une unité d'élevage des escargots et d'une ligne de vêtements pour femmes voilées. Les porteurs des projets ont empoché pour chaque projet un chèque de 10 mille dirhams offert par la présidence de l'Université. «Nous avons tenus à organiser cette première édition à l'occasion du lancement effectif de la cité d'innovation pour encourager l'esprit d'entrepreneuriat chez les étudiants universitaires. Nous avons eu près de 60 projets en compétition qui touchaient à plusieurs secteurs économiques. Et il a été sélectionné, en partenariat avec la CGEM, la Chambre de commerce et de l'industrie de Fès, la Fondation Banque populaire pour la création d'entreprise, le Guichet Moukawalati de l'Office de la formation professionnelle, l'Office marocain de la propriété industrielle et commerciale et d'autres partenaires, 9 projets et finalement trois projets ont été primés.

Il s'agit pour la présidence de l'Université de sensibiliser les étudiants la création d'entreprise. Et surtout les inciter à ne plus compter sur l'emploi dans le secteur public qui recrute de moins en mois à cause de la situation des finances publiques», explique Farissi Esserghi, président de l'Université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès, lors de la journée de clôture de cette première édition de «Création d'entreprise», le 9 juillet, en présence du ministre du Commerce, de l'Industrie et des Nouvelles technologies, Ahmed Réda Chami, des autorités locales et des opérateurs économiques de la ville. Mieux encore, les porteurs des projets gagnants vont bénéficier de 18 mois de formation et seront incubés au cœur de la cité d'innovation avant de voler de leurs propres ailles. La présidence de l'Université a pour objectif, à travers ce type de manifestation, de rapprocher les lauréats de l'Université du monde des affaires et de l'entreprise et de les encourager à créer leurs propres emplois et à s'intégrer plus facilement dans le tissu socioéconomique.

À noter que le coup d'envoi de cette première édition de «Création d'entreprise» a été donné pendant les trois premiers mois de l'année 2011, à travers plusieurs actions de sensibilisation à l'entrepreneuriat organisées au sein de L'USMBA. Par la suite, une commission d'experts s'est penchée sur l'étude et la sélection des projets innovants. Les lauréats retenus ont suivi des formations et ont été accompagnés pour le montage et la finalisation de leurs projets. «La présidence a octroyé des prix d'excellence à trois projets parmi les 9 en lice. Ils seront accompagnés au sein de l'incubateur de l'Université : l'Espace d'Incubation, d'Essaimage et d'Innovation (2EI) du Centre universitaire régional d'Interface, transformé désormais en cité d'Innovation. Mais je considère que tous les finalistes sont gagnants et leurs projets peuvent voir le jour grâce aux différents programmes d'appui à la création d'entreprises», précise le président de l'Université. De son côté, le ministre du Commerce et de l'Industrie a saisi l'occasion pour faire la promotion des différents produits lancés par son ministère pour encourager la création de l'entreprise, la promotion de l'innovation et des pôles d'excellence.

Neufs projets en lice

Les neufs projets finalistes de la première édition de la «Création d'entreprise» concernent la production du miel naturel, la valorisation des polyphénols extraits à partir des margines, l'élevage des escargots, la valorisation des plantes médicinales et aromatiques, la collecte et la récupération du papier et du carton, le textile et le e-commerce pour des produits d'artisanat, laboratoire d'analyse physicochimique et microbiologique et la création d'une unité de collecte et de recyclage des déchets plastiques.


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lundi 25 juillet 2011

Créer une entreprise au Maroc 2011

Formalité 1 : Certificat négatif 

  • Entreprises concernées : Obligatoire pour toutes les sociétés sauf pour les entreprises individuelles qui n'optent pas pour une enseigne

  • Frais : 151 DH de frais de timbre et
    de recherche

  • Administration compétente : Registre Central du Commerce, km 9,5 Route Nouasseur, Casablanca ou auprès des Délégations du Ministère du Commerce et de l'Industrie.

    Formalité 2 : Etablissement des statuts de la Société

  • Entreprises concernées : toutes les entreprises

  • Frais : 20dh de frais de timbre par page des statuts- honoraires de la fiduciaire.

  • Administration compétente : Fiduciaire ou notaire

    Formalité 3 : Enregistrement et timbres

  • Entreprises concernées : Entreprises sociétaires

  • Frais : -Pour les SA : enregistrement 50dh pour projet des statuts. -Pour les SARL et les sociétés de personnes : Enregistrement : 0,5% sur le capital en numéraire -Pour toutes les sociétés : timbres de 20dh par feuille+2dh de timbre par signature légalisée

  • Administration compétente : Ministère des Finances et des Investissements Extérieurs

    Formalité 4 : Dépôt des statuts

  • Entreprises concernées : Toutes les sociétés

  • Frais : -Dépôt : 250 dh -Enregistrement : 100 dh (50 dh pour les statuts et 50 dh pour la minute) -Taxe notariale : 3dh+timbre de 20dh par feuille de la minute

  • Administration compétente : Secrétariat greffier du Tribunal de 1ere instance du ressort duquel dépend la société

    Formalité 5 : Etablissement des bulletins de souscription et le cas échéant des actes d'apport

  • Entreprises concernées : Sociétés de capitaux particulièrement les SA

  • Frais : Timbre de dimension de 20 dh par feuille et le cas échéant 50 dh d'enregistrement pour l'acte d'apport

  • Administration compétente : Notaire ou rédacteur

    Formalité 6 : Dépôt en banque des fonds de souscription et délivrance d'une attestation de blocage

  • Entreprises concernées : Sociétés de capitaux particulièrement la SA et la SARL

  • Frais : Néant

  • Administration compétente : Banque

    Formalité 7 : Déclaration de souscription et de versement

  • Entreprises concernées : Sociétés de capitaux particulièrement les SA

  • Frais : Honoraires : 1.500 dh environ -Taxe notariale : 75 dh pour les premiers 10.000 dh plus 0,20% pour le reste du capital -Timbres : 20 dh par feuille de la minute et des annexes plus 20 dh par feuille des expéditions et de leurs annexes.

  • Administration compétente : Par fondateur reçu par un notaire

    Formalité 8 : Inscription à  la patente

  • Entreprises concernées : Toutes entreprises

  • Frais : Néant

  • Administration compétente : Ministère des Finances (Direct. des Impôts)

    Formalité 9 : Immatriculation au registre du commerce

  • Entreprises concernées : Toutes les entreprises

  • Frais : Taxes judiciaires : 150 dh+ timbre de 20 dh par feuille + 2 dh par signature légalisée

  • Administration compétente : Tribunal de première instance du lieu du siège social

    Formalité 10 : Inscription à  IS

  • Entreprises concernées : Toutes les sociétés

  • Frais : Néant

  • Administration compétente : Ministère des finances et des Investissements Extérieurs (Direct. Impôts)

    Formalité 11 : Inscription à  l'IGR

  • Entreprises concernées : Les entreprises individuelles

  • Frais : Néant

  • Administration compétente : Ministère des finances et des Investissements Extérieurs (Direction des Impôts)

    Formalité 12 : Déclaration à  l'inspection du travail

  • Entreprise concernées : Toute entreprise

  • Frais : Néant

  • Administration compétente : Ministère de l'emploi

    Formalité 13 : Affiliationà  la Caisse Nationale de Sécurité Sociale

  • Entreprises concernées : Toute entreprise

  • Frais : Néant

  • Administration compétente : CNSS

    Formalité 14 : Autorisations administratives

  • Entreprises concernées : Etablissements classés

  • Frais : Timbres+ enquête

  •                                                                                         http://www.immobilier-pro-maroc.com

  • Mohammed Chakib Rifi, DG de Dataplus


    33 ans et l’audace de l’entreprenariat. Ingénieur issue de l’Ecole polytechnique de Lille, il n’aura jamais été tenté par le salariat. A 22 ans, il crée Dataplus avec 100 000 DH prêtés par son père. Coup de maître : convaincre Olivetti de lui accorder une licence de fabrication d’ordinateurs.
    Mohammed Chakib Rifi
    On oppose souvent le sens des affaires et l’épaisseur intellectuelle. Pourtant, nombre d’hommes d’affaires allient les deux et parfois même une grande adhésion aux valeurs morales universelles. Mohammed Chakib Rifi, dg de Dataplus, jeune entrepreneur bourré de talent et très déterminé quand il s’agit de concrétiser les bonnes idées, en est un. Cet ingénieur qui n’a jamais été salarié est né en 1977, à Fès, alors que ses parents sont encore étudiants. Pur produit de l’école publique, il fera un parcours sans faute et obtient son Bac, à 17 ans, au lycée Moulay Abdallah de sa ville natale. Bien sûr, il a eu ses moments de révolte de jeune ado puisqu’un jour il est allé trouver son père pour l’informer qu’il a «décidé d’arrêter ses études car c’est plus simple d’être commerçant». Heureusement qu’il s’est ravisé tout seul. Après le Bac, une fois tenté par des prépas en France dont sa maman ne voulait pas entendre parler à cause de son jeune âge (il avait à peine dix-sept ans), il s’est rabattu sur l’Ecole supérieure de technologie (EST) de Fès pour des prépas ouverts à l’époque aux titulaires d’un Bac technique. Au bout de deux ans, il s’inscrit à l’Ecole polytechnique de Lille. La première année fut dure, mais tout ira bien par la suite. Son mémoire de fin d’études est consacrée à «la simulation de la consommation énergétique dans les environnements informatiques». Durant cette troisième année d’études, il s’était rendu au Canada dans le cadre d’un partenariat que son école noue avec d’autres universités.
    Dirigeant de société dès l’entame de sa vie active
    Lorsque Mohammed Chakib Rifi revient au pays, il ne sait pas que, non seulement son retour est définitif, mais que ce sera le début d’une belle aventure dont il ne pouvait pas mesurer les développements. En effet, son père venait de créer une entreprise avec des associés et il voulait le voir la diriger. Nous étions en 1999. Le jeune se plie à sa volonté, mais au bout de quelques semaines il en arrive à la conclusion que le business n’allait pas tenir et persuade son père d’en retirer ses sous. Las ! Il décide de créer sa propre entreprise, Dataplus, qui veut opérer dans les domaines de l’informatique et des télécommunications. Mais ce fut là un petit embryon de société logée dans un petit local d’à peine 50 m2 plus une soupente. Il va avoir la brillante idée de chercher un stage et lorsque Samsung lui propose une formation de 15 jours en Corée devant lui coûter 45 000 DH, il n’hésite pas à puiser dans le capital de 100 000 DH que son père lui avait avancé.
    Il exporte les machines Olivetti dans toute l’Afrique francophone et dans les pays arabes
    Dès son retour, il se met en quête de petits marchés de l’administration. Par chance, Poste Maroc lui propose de configurer son centre d’appels. Il recrute un installateur et programme lui-même le système. Ce marché, un des tout premiers qu’il décroche, lui rapporte 190 000 DH. Malgré cette réussite, il aura du mal à percer car on lui demandera toujours des références. Par la suite, Dataplus deviendra le premier fournisseur de l’université. En 2001, c’est à peine s’il réussit à dégager un chiffre d’affaires de 4 MDH. Mohammed Chakib Rifi va avoir une chance de jouer dans la cour des grands après des contacts noués avec les patrons d’Olivetti. D’abord, ils ne sont pas très enthousiastes car leur projet est de faire de l’Egypte la tête de pont vers le Moyen-Orient. Puis en 2005, ils acceptent son business plan, mais ne veulent pas mettre un sou dans le projet, à part leur aide logistique en tant que franchiseur. Mohammed Chakib va foncer pour réunir les fonds et recourt à un crédit moyen terme pour mobiliser 6,5 MDH pour construire l’unité de Dataplus dans la zone industrielle de la Chambre de commerce française de Casablanca. A partir de 2006, le rythme s’accélère progressivement pour atteindre aujourd’hui 20 000 unités.
    Dataplus ne se contente pas de fabriquer et de distribuer des PC Olivetti au niveau régional. Elle commercialise aussi d’autres marques d’ordinateurs (HP, Toshiba, Sony, Samsung…) et des équipements informatiques et de télécommunications qui représentent 70% de ses ventes.
    L’entreprise est boostée par des marchés comme Génie 2 dont elle revendique 60%. Mohamed Chakib Rifi a aussi sa propre marque déposée, mais il attend son heure pour sa commercialisation. En attendant, il exporte déjà de petites quantités en Algérie, au Gabon, au Mali, au Sénégal, au Tchad et même en Arabie Saoudite ou encore en France.
    Mais cela représente encore à peine 5 à 10%, selon les années, de l’ensemble des ventes. Et, explique-t-il, sur le processus comme sur la qualité, les produits fabriqués par Dataplus, certifiée ISO 9001-2008 en 2009, ne doivent rien aux meilleurs. D’ailleurs, ce n’est pas rien que sur certaines gammes la garantie peut courir jusqu’à cinq ans. Les années difficiles sont donc loin. Pour preuve, la société, dont la marge de progression reste intéressante, a réalisé un chiffre d’affaires de 80 MDH en 2010 et s’est récemment lancée dans un projet de fabrication de téléphones portables made in Morocco (cf : www.lavieeco.com).
    Malgré son tempérament de gagneur, Mohamed Chakib Rifi est aussi un altruiste qui aime faire partager son expérience. Membre actif du Centre des jeunes dirigeants (CJD), association qui œuvre pour l’amélioration des conditions favorisant la création et le développement des entreprises, il vient d’être élu président de la section de Casablanca pour un mandat de trois ans. A seulement 33 ans, il a déjà l’étoffe des grands entrepreneurs.
    Mohamed El Maâroufi. La Vie éco
    www.lavieeco.com
    2011-07-25

    60 projets agricoles retenus dans le cadre du partenariat public-privé


    Une soixantaine de grands projets filières (GPF) ont été retenus dans le cadre de la 3ème tranche du partenariat public-privé (PPP) autour des terres agricoles du domaine privé de l'Etat, a annoncé, vendredi à Rabat, le directeur général de l'Agence de développement agricole (ADA), Ahmed Hajjaji.
    S'exprimant lors d'un point de presse consacré à cette 3ème tranche, Ahmed Hajjaji a indiqué que 60 des 477 GPF ont été retenus après la sélection finale, représentant ainsi un taux de satisfaction de 12%.
    En ce qui concerne les moyens et petits projets agricoles, 195 candidats ont été sélectionnés d'un total de 1.371, soit un taux de satisfaction de 14%, a-t-il précisé, ajoutant que la participation pour les grands aussi bien que les moyens et petits projets “a constitué trois fois le niveau de la première tranche du PPP”.
    Faible niveau de l'agro-industrie
    La présélection de ces projets s'est faite sur la base de l'analyse des références du candidat et du projet proposé selon un barème qui prend en considération notamment la cohérence technique, économique et financière du projet, le niveau d'investissement et l'introduction de nouvelles technologies.
    Pour ce qui est du bilan prévisionnel de l'opération de la 3ème tranche, les soumissionnaires retenus ont opté pour le secteur agricole avec 46%, l'agro-industrie (17%) et le non agricole (38%), a relevé le directeur général de l'ADA.
    Par ailleurs, 49% des candidats retenus aux moyens et petits projets sont âgés de moins de 40 ans, 28% sont entre 40 et 50 ans, alors que 23% dépassent les cinquantaines, a noté le responsable.
    5 milliards DH
    S'agissant des prévisions des investissements, le directeur général de l'ADA a précisé que la valeur des investissements agricoles a atteint 5 milliards DH, tandis que celle des projets agro-industriels a été de l'ordre de 4,1 milliards DH.
    Évoquant l'état d'avancement de l'évaluation de la première tranche du PPP autour des terres agricoles du domaine privé de l'Etat, Hajjaji a souligné que “le travail d'évaluation a fait ressortir 11 projets présentant un faible niveau de réalisation”.
    Rendez-vous en septembre prochain
    Une commission interministérielle a décidé d'adresser une mise en demeure à l'encontre de l'ensemble des partenaires des huit projets vérifiés qui ont accusé du retard en matière de réalisation de leur programme d'investissement, a-t-il ajouté.
    Le directeur général de l'ADA a annoncé que le lancement de la 4ème tranche de cette opération est prévu pour septembre 2011, précisant que l'assiette foncière prévue est d'environ 20.000 ha appartenant au domaine privé de l'Etat.
    La 3ème tranche du PPP autour des terres agricoles du domaine privé de l'Etat a été lancée le 29 mars 2010.
    www.aufaitmaroc.com

    Financer les PME pour favoriser la croissance

    Bank Al-Maghrib a organisé le 23 juin, à Fès, une rencontre régionale de sensibilisation sur le financement des Petites et moyennes entreprises (PME), en partenariat avec la CGEM, l'Agence nationale pour la promotion de la petite et la moyenne entreprise (ANPME), le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) et la Caisse centrale de garantie (CCG). Cette rencontre organisée sur le thème «Pour un meilleur accompagnement de la PME au service du développement régional et de l'investissement», vise, selon El Hadi Chaibainou, directeur général du GPBM, à réfléchir à des solutions adéquates pour les difficultés auxquelles les PME sont confrontées, et sensibiliser sur les mesures prises pour faciliter l'accès des PME et des TPE au financement bancaire.

    En effet, les PME sont soumises à différentes contraintes liées essentiellement à la fragilité des structures, aux moyens humains et techniques, à la maîtrise de l'évolution des marchés ainsi qu'à la formation, l'innovation et les pratiques managériales. Pour faire face à ces contraintes et faciliter l'accès des PME aux services financiers, Bank Al-Maghrib a prévu plusieurs actions.
    Nabil Badr, représentant de Bank Al-Maghrib, a indiqué lors de son intervention, que Bank Al-Maghrib ambitionne d'assurer une transparence renforcée vis-à-vis de sa clientèle par le biais de l'affichage des conditions bancaires, la transparence et la lisibilité des relevés de compte et l'ouverture des comptes pour des rapports équilibrés et des engagements clairs des parties.

    M. Badr a ajouté que Bank Al-Maghrib a mis en place un système de standardisation des éléments minimum d'information à fournir par les entreprises et a incité les établissements de crédit à mettre en place des outils modernes d'analyse des risques en vue d'une meilleure visibilité sur les risques et une tarification appropriée selon le profil de risque de chaque entreprise.
    Pour sa part, Mohamed Touimi Benjelloun, représentant du GPBM, a expliqué que l'accompagnement des PME s'avère une nécessité vu que les PME qui constituent 95% de l'ensemble des entreprises marocaines jouent un rôle moteur dans le développement du Maroc. Et les chiffres affirment ce constat : 40% de la production nationale, 30% des exportations nationales, 50% de l'emploi, 20% de la valeur ajoutée et 50% de l'investissement privé.

    A cet effet, les PME affichent plusieurs attentes à l'égard des banques. «Les PME exigent des banques une offre de services bancaires, globale, flexible, innovatrice et compétitive, une prise en charge personnalisée, un service fiable et de qualité avec une efficience dans le conseil, et une célérité dans le traitement des dossiers», a précisé M. Benjelloun ajoutant que les banques exigent de leur part que les PME aient plus de transparence, de visibilité d'organisation et de respect des conditions bancaires pour réussir les mesures d'accompagnement prévues par les établissements bancaires.

    Par ailleurs, les programmes destinés à soutenir les PME comme Moussanada et Imtiaz ont été au centre de l'intervention de Mohamed Bahami, représentant de l'ANPME. Ainsi, le programme Imtiaz qui est arrivé à sa 3e édition permet aux PME à fort potentiel de concrétiser leurs projets de développement et les accompagne pour atteindre des paliers supérieurs de chiffres d'affaires, de valeur ajoutée et de rentabilité en leur octroyant une prime correspondant à 20 % de l'investissement total plafonnée à 5 MDH.
    Quant au programme Moussanada, il permet d'améliorer la productivité de 500 PME/an, de renforcer leurs facteurs de compétitivité en termes notamment de coût, de délai et de qualité ainsi qu'accélérer l'usage des technologies de l'information.

    La PME au cœur de la stratégie de la CCG

    La Caisse centrale de garantie (CCG) donne une grande importance aux PME dans le cadre de sa stratégie 2009-2012. Cet établissement qui garantit 50% à 85% des crédits bancaires vise à assurer un meilleur financement aux PME en suivant 3 piliers. Le premier est destiné à offrir des produits qui couvrent le cycle allant de la création à la consolidation en passant par la modernisation à travers une offre générique, des modes de financement multiples, un paramétrage adapté en plus d'une offre de cofinancement à des conditions avantageuses orientée vers les secteurs prioritaires.
    Le deuxième pilier est destiné au rengineering des processus alors que le troisième concerne le redéploiement régional.


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    Maroc : appels pour un plan pour l'innovation et les PME en Méditerranée


    Au cours d'une rencontre, le Maroc et la France ont appelé, mardi 12 juillet à Rabat, l'Union pour la méditerranée (UpM), l'Union européenne (UE) et la Banque européenne d'investissement (BEI) à mettre en œuvre un plan pour l'innovation et les PME en Méditerranée.
    Par les voix respectives d'Ahmed Réda Chami, ministre marocain de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, et Eric Besson, ministre français chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, les deux parties ont affirmé leur détermination à engager de nouvelles coopérations au niveau de leur pôle de compétitivité (clusters), articulé autour du numérique et des énergies renouvelables.
    L'objectif est de parvenir à la création de filières industrielles euro-méditerranéennes fondées sur l'innovation et le partage des technologies autour de pôles d'excellence technologique, associant les deux rives de la Méditerranée.
    Elles passeraient par la généralisation de l'e-économie et l'usage des TIC au niveau des très petites entreprises et des PME méditerranéennes et la promotion du cofinancement en capital-risque pour les PME innovantes de la région et des investissements communs à l'échelle de la région.
    Un comité de pilotage associant les deux ministères est d'ores et déjà mis sur pied pour mettre en œuvre la déclaration conjointe.
    Un premier pas a été réalisé avec la signature d'un accord de coopération entre les pôles de compétitive Maroc Numeric Cluster et Systematic Paris-Région (France).
    Dans le domaine numérique, les expériences française de « Passeport pour l'économie numérique » et marocaine de « Permis numérique-Infitah », devront servir de bonnes pratiques à adapter et à généraliser au niveau méditerranéen.
    Aussi, le Maroc étudiera avec la France la possibilité de rejoindre le fonds FARO de l'Union pour la Méditerranée. "

    vendredi 22 juillet 2011

    L'accord agricole Maroc-UE: "Très équilibré" selon Akhannouch


    L'accord agricole entre le Maroc et l'Union européenne est très équilibré et tient compte aussi bien des intérêts des agriculteurs marocains qu'européens, a affirmé, mercredi à Bruxelles, le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime Aziz Akhannouch.
    S'exprimant devant la Commission du commerce international du Parlement européen, M. Akhannouch a indiqué que la coopération entre l'Union européenne et le Maroc, partenaire privilégié bénéficiant du Statut avancé avec l'Union, doit se consolider davantage à travers les échanges agricoles, appelant à un accompagnement européen de ce secteur.
    "L'accompagnement du secteur agricole du Maroc, qui est l'autre rive mais aussi la porte de l'Europe, renforcera la mise à niveau de son agriculture et assurera, par la même, la protection du marché et du consommateur européens", a souligné le ministre, invitant les opérateurs des deux bords à renforcer le dialogue pour un avenir durable.
    Donnant un aperçu sur la politique agricole nationale, le ministre a d'emblée souligné que le " Plan Maroc Vert " de développement a été décliné en plans régionaux qui ont à leur tour été négociés avec l'ensemble des conseils régionaux du Royaume.
    Ce Plan national, a-t-il expliqué, vise notamment l'amélioration des revenus des agriculteurs, la garantie de la sécurité alimentaire, la protection des ressources naturelles des différentes régions et l'intégration de l'agriculture marocaine au marché national et international.
    Il a également fait savoir que ces négociations ont été sanctionnées par un accord de développement inter-régional signé après vote à l'unanimité, précisant qu'à elles seules les régions du sud du Royaume bénéficieront d'un investissement de 480 millions d'euros.
    Rappelant que les exportations marocaines vers le marché européen ne dépassent pas 2,5 pc des fruits et légumes, le ministre a appelé à une complémentarité avec l'Union européenne.
    Il a, en outre, souligné que le plan de développement agricole du Maroc s'inscrit dans le droit fil de la sécurité alimentaire qui est étroitement liée avec les échanges internationaux et qui exige d'assurer la suffisance alimentaire.
    "Le Marché marocain est devenu un marché très intéressant notamment à travers l'organisation des réseaux de distribution et de contrôle ", a-t-il insisté.
    M. Akhannouch a, de même, mis en exergue l'adoption par le Maroc d'une loi sur la sécurité alimentaire en phase avec les standards européens, mettant ainsi à niveau "ses textes de loi et son mode de travail".
    Le Maroc, a expliqué le ministre, a ainsi mis en place l'Office national de sécurité des aliments (ONSA), qui contrôle l'ensemble de la production et de la commercialisation et l'Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE), qui s'occupe de la traçabilité et du contrôle des exportations marocaines.
    Répondant à des questions d'eurodéputés sur l'avenir des "petits agriculteurs " marocains, M. Akhannouch a indiqué que le Maroc, qui compte près de 9 millions de surface agricole utile, oeuvre à travers le "Plan Maroc Vert" à la mise en place d'une agriculture moderne, mais aussi à accompagner ces agriculteurs à travers le programme Pilier II de cet ambitieux programme national.
    La promotion des produits du terroir et leur exportation sont également des enjeux importants pour la réussite de ce grand chantier agricole, l'année 2010 ayant été résolument placée sous le signe du terroir, a-t-il ajouté.
    Il a souligné que le Maroc accompagne ces petits agriculteurs qui souvent affrontent des difficultés pour écouler leur récolte et encore plus exporter leurs produits.
    Dans leurs interventions, plusieurs députés européens ont, à cette occasion, salué les réformes tous azimuts engagées par le Maroc, appelant le Parlement européen à encourager le Maroc dans sa politique agricole " ambitieuse ". " Le Parlement européen doit encourager les pays qui avancent tel le Maroc ", ont-ils souligné.
    MAP-www.aufaitmaroc.com

    L'acquisition de Lesieur Cristal par Sofiprotéol motivée par le "développement important" du marché marocain


    La prise de contrôle de Lesieur Cristal par Sofiprotéol est motivée par le "développement important" du marché marocain en liaison avec la croissance démographique et le pouvoir d'achat, a souligné le Directeur général du groupe français, Philippe Tillous-Borde.
    "L'huile de table constitue un produit de base de l'alimentation marocain", le marché marocain étant l'un des plus importants du pourtour méditerranéen, a expliqué M. Tillous-Borde dans un entretien mardi au quotidien "Aujourd'hui le Maroc".
    Il a également indiqué que la filiale de Sofiprotéol, Lesieur, qui est acteur majeur dans le marché européen des huiles d'olive, pourra accompagner Lesieur Cristal dans le développement des oliveraies, en offrant de nouveaux débouchés pour la production marocaine sur les marchés internationaux.
    L'opération d'acquisition s'inscrit le cadre de la stratégie d'internationalisation du groupe français, a rappelé M. Tillous-Borde, faisant savoir que Sofiprotéol "a une volonté de se développer hors des frontières notamment dans le bassin méditerranéen qui représente un de ses axes privilégiés à l'international".
    "Une stratégie commune entre Lesieur et Lesieur Cristal permettra de développer les exportations et implantations directes commerciales et industrielles dans le bassin méditerranéen et en Afrique", a-t-il encore précisé.
    M. Tillous-Borde a par ailleurs indiqué que son groupe ne s'intéresse pas seulement à l'huile au Maroc, d'autant qu'il s'active en outre, à travers Glon Sanders, dans la fabrication d'aliments pour animaux d'élevage.
    Le groupe français "a l'ambition de développer la filière agroalimentaire et agricole", a-t-il ajouté.
    Le numéro un français de l'huile alimentaire Lesieur avait annoncé la semaine dernière avoir pris le contrôle de 41 pc du capital du groupe marocain "Lesieur Cristal" pour un montant de 115 millions d'euros, devenant ainsi l'actionnaire de référence.
    L'acquisition de 41 pc du capital du groupe spécialisé dans le raffinage et le conditionnement d'huiles alimentaires, auprès de la Société nationale d'investissement (SNI) a été réalisée par le groupe industriel et financier de la filière oléagineux Sofiprotéol, qui produit les huiles Lesieur et Puget en France.
    MAP-www.aufaitmaroc.com

    Ariel lance la première lessive en 3D Technologie de pointe et glamour


    Les ménagères marocaines, comme dans le reste du monde, ont certainement remarqué la présence dans les épiceries et les grandes surfaces l’arrivée de la nouvelle lessive Ariel. Proposée dans différents packages de 750 grammes, 1,5 kg, 3 kg et 4,5 kg, la nouvelle lessive Ariel est le résultat de 3 années de recherche scientifique: les micros boosters qui sont la force de la nouvelle génération des détergents.


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    Le linge sale se lave en famille, dit-on. Et pour respecter cet adage, le lancement de cette nouvelle lessive a réuni, le 1er juillet, la grande famille Procter & Gamble à Dubaï. Plus de 150 personnes venant de 40 pays ont assisté au lancement, grandeur nature, de la première lessive 3D au monde. Par cette innovation, la lessive ne traite plus la salissure superficiellement mais en volume. Pour cela trois étapes sont nécessaires:
    Polissage des fibres
    C’est l’étape préliminaire qui consiste à lisser la surface du tissu permettant ainsi aux agents nettoyants de pénétrer au cœur du réseau de fibres.
    Réduction des charges électriques
    Dans les lessives traditionnelles, les détergents rencontrent une résistance électrique et sont par conséquent repoussés, n’atteignant que superficiellement la tache. La réduction de ces charges négatives des agents de nettoyage leur permet de pénétrer profondément dans les couches du tissu.
    Extraction de la tache
    Ainsi abordée en volume, la tache est extraite en profondeur et donne un nettoyage impeccable sans altérer ni la qualité du tissu ni les couleurs.
    Pour obtenir de tels résultats, les scientifiques de Procter & Gamble ont recouru aux technologies les plus avancées de la microscopie et de l’informatique.
    Micro tomodensitométrie
    La tomographie est une technique d’imagerie utilisée dans l’imagerie médicale, en géophysique et en astrophysique. Cette technique permet de reconstruire le volume d’un objet à partir d’une série de mesures effectuées par tranche depuis l’extérieur de cet objet. Dans le cas des micros boosters d’Ariel, cette technique permet de comprendre les tissus et les taches, comme jamais auparavant, en étudiant sous tous les angles les profondeurs, les formes et les contours des fibres.
    Imagerie par résonance magnétique
    Permet de voir et de comprendre la profondeur et l'intensité de la pénétration de la teinture.

    Microscope électronique à balayage
    Montre la topographie des tissus, et la manière avec laquelle la tache est piégée dans les fibres.
    Cette nouvelle approche scientifique a fait dire à Kash Shaikh, Directeur général des relations extérieures chez Ariel: “tout le monde est familier avec les innovations en matière de divertissement et d'électronique, mais la plupart des gens ne sont pas sans savoir que la 3D est la redéfinition de nombreuses autres industries, de l'art et l'architecture, à la santé et la médecine. La technologie 3D est en train de révolutionner la façon dont nous voyons et expérimentons le monde.”
    Fashion et technologies
    Dans le somptueux hôtel The Adress Down Town qui fait face à la plus haute tour du monde, Borj Khalifa à Dubaï, l’ensemble de ces étapes a fait l’objet de démonstration. Ainsi, l’action des micros boosters dans les tissus, les fibres et les salissures a été reproduite dans des salles où les invités ont été littéralement invités à plonger au cœur du tissu et ont pu suivre l'action des micros bossters en 3D. L'effet était des plus spectaculaires. La technologie sert à convaincre. Et lorsqu'il s'agit de bien-être, Ariel ne lésine pas sur les moyens.
    En plus de faciliter la tâche aux ménagères, Ariel version micro boosters s'est associée à la haute couture... toujours en 3D!  La mode avant-gardiste incarnée par la styliste locale Aiisha était également au rendez-vous. Les journalistes ont ainsi suivi un défilé de mode munis... de lunettes 3D.
    50 millions de dollars d'investissement
    La mise au point de la nouvelle lessive Ariel micro boosters, utilisable aussi bien en machine qu'en lavage à la main et cédée au même prix que l'Ariel classique, a nécessité le concours de 400 scientifiques et une enveloppe de 50 millions de dollars afin de mener les recherches, les sondages, la revalorisation du produit.
    Selon Abdelkhalek Torres, directeur marketing de la catégorie détergents pour l'Afrique et le Moyen-Orient, le retour sur investissement se fera sur trois années.
    Pour comprendre et répondre aux besoins des consommatrices du monde entier, un sondage a été effectué sur tous les continents: aux questions des enquêteurs, les femmes répondaient qu'elles souhaitaient avoir une lessive qui rend le linge comme neuf.
    Voilà qui est fait.
    www.aufaitmaroc.com