jeudi 9 août 2012


Des anciennes de Lejaby récoltent 50.000 euros

http://www.lefigaro.fr/
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Chine : les prix redeviennent sages


AFP Publié  

La hausse des prix à la consommation en Chine, principale jauge de l'inflation, est tombée en juillet à 1,8% sur un an, selon le gouvernement, alors que la croissance ralentit dans la deuxième économie mondiale.

Il s'agit du plus bas niveau de l'inflation en Chine depuis janvier 2010, lorsque la hausse des prix avait été de 1,5%. Sur l'ensemble des sept premiers mois de l'année, l'inflation en Chine s'est élevée à 3,1% sur un an, selon le Bureau national des Statistiques (BNS).

"D'une façon générale, il est probable que l'inflation en Chine demeure dans l'avenir modérée et contrôlable, ce qui laisse à la Chine de la marge pour davantage assouplir sa politique (monétaire)", a commenté Sun Junwei, de la banque HSBC à Pékin.

L'inflation en Chine devrait "rester comprise entre 3% et 3,5% cette année et tomber entre 2,5% et 3% en 2013", selon le rapport annuel du Fonds monétaire international (FMI) sur la deuxième économie mondiale publié fin juillet. 


Les requêtes Google vont fouiller Gmail

AFP Mis à jour  | publié  

Le groupe internet américain Google a commencé hier à permettre aux recherches effectuées par ses utilisateurs d'inclure des messages archivés dans des boîtes mail de son service de courriels Gmail. "Parfois la meilleure réponse aux questions que vous vous posez n'est pas disponible sur le domaine public d'internet, elle peut être contenue ailleurs, dans vos courriels par exemple", a indiqué sur son blog Amit Singhal, le vice-président de Google en charge de la recherche.

Google a invité ses utilisateurs à aller visiter l'adresse google.com/experimental/gmailfieldtrial pour s'enregistrer et participer à ce nouveau développement, toujours en cours de finalisation. "Nous développons une nouvelle manière de trouver des informations qui vous seront utiles et nous aimerions avoir votre avis", a poursuivi M. Singhal.

Les recherches sont limitées aux demandes en anglais et sur les comptes Gmail. "Ce sont des petits pas, mais des pas importants pour développer le moteur de recherche du futur", a encore ajouté M. Singhal.

Adecco : net recul des bénéfices


AFP Publié  - 

Le groupe suisse Adecco, numéro un mondial de l'intérim, a subi au deuxième trimestre un recul de 20% à 113 millions d'euros du bénéfice net, qui est ressorti conforme aux attentes.

Le résultat d'exploitation a baissé de 8% à 172 millions d'euros, tandis que le chiffre d'affaires a progressé en revanche de 1% à 5,2 milliards entre avril et juin, a précisé Adecco dans un communiqué.

Nestlé : hausse des profits


AFP Publié 

Chine:nouveaux signes de ralentissement


Avec Reuters Mis à jour  

La production industrielle en Chine a ralenti en juillet pour enregistrer une hausse de 9,2% en rythme annuel, la plus faible en plus de trois ans, alors que les analystes s'attendaient au contraire à voir sa croissance accélérer à 9,8% après 9,5% en juin.

Les ventes au détail ont quant à elles augmenté de 13,1% d'un an sur l'autre, alors que les analystes les anticipaient en hausse de 13,7% comme au mois précédent.
La croissance des investissements en actifs fixes, qui a compté pour la moitié de la croissance économique nette de la Chine au premier semestre, ressort à +20,4% entre janvier et juillet par rapport à la même période un an plus tôt (consensus +20,5%).

L'investissement immobilier a, pour sa part, crû de 15,4% sur les sept premiers mois de 2012 par rapport à la même période un an plus tôt, alors qu'il affichait sur les six premiers mois de l'année une hausse de 16,6%, a fait savoir jeudi le bureau national des statistiques. Les constructions nouvelles ont quant à elles chuté de 9,8% en rythme annuel sur les sept premiers mois de l'année, accélérant le déclin de 7,1% enregistré au premier semestre.

Enfin, l'inflation est tombée en juillet à son plus bas niveau depuis 30 mois, ce qui donne à la banque centrale chinoise les munitions nécessaires pour orienter l'économie vers l'objectif officiel de croissance de 7,5% pour 2012 fixé par le gouvernement. Les prix à la consommation ont augmenté de 1,8% en juillet sur un an, alors que la hausse était de 2,2% en juin. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient une inflation un peu plus basse, de 1,7%. En juillet 2011, l'inflation était à 6,5%, son plus haut niveau de trois ans. 

Flambée des prix alimentaires mondiaux


AFP Publié  

Les prix alimentaires mondiaux ont grimpé de 6% en juillet par rapport à juin, après trois mois consécutifs de baisse, a annoncé jeudi l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).

Cette envolée est due notamment à une flambée des prix des céréales, suite à la sécheresse aux États-Unis, et du sucre.

L'indice FAO des prix des aliments s'est établi en moyenne à 213 points, en hausse de 12 points par rapport à juin, mais il reste loin de son record de 238 points atteint en février 2011, indique la FAO dans un communiqué.

GB : le déficit commercial se creuse


lefigaro.fr Publié 

Démarrage et mise en service de l'unité de distillation 4 de la SAMIR


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mercredi 8 août 2012

"La France serait au bord de la récession", prévoit la Banque De France

Dernière mise à jour : 

La Banque de France (BdF) s'attend à un recul de 0,1 pc du produit intérieur brut (PIB) de la France au troisième trimestre (T3) 2012 qui signifierait l'entrée du pays en récession, selon son enquête mensuelle de conjoncture publiée mercredi.
La Banque de France avait déjà annoncé début juillet s'attendre à un recul de 0,1 pc du PIB français au deuxième trimestre. Si ces prévisions se réalisaient, l'économie française connaîtrait une nouvelle récession avec deux trimestres consécutifs de recul du PIB.
Cette contraction de l'économie française serait la première depuis que la France est sortie de la récession, au printemps 2009. Au premier trimestre 2012, l'économie française a enregistré une croissance nulle. Le gouvernement a abaissé ses prévisions début juillet, ramenant son estimation à une croissance du PIB de 0,3 pc en 2012 et à environ 1,2 pc pour 2013, contre 0,4 pc et 1,7 pc attendus auparavant.
Le 1er août, le ministre de l'Economie Pierre Moscovici a admis qu'il demeurait "inquiet" pour les chiffres de la croissance mais n'envisageait pas d'abaisser une nouvelle fois sa prévision pour 2012.
MAP-www.aufaitmaroc.com

Ikea intéressé par le marché indien

AFP Publié 

Le gouvernement indien et le groupe suédois d'ameublement Ikea sont proches d'un accord portant sur la question de l'approvisionnement local qui a retardé l'entrée du géant suédois dans le pays émergent, selon The Economic Times.

L'Inde a donné son accord "de principe" pour qu'Ikea bénéficie d'une échéance de sept ans avant de répondre à la réglementation exigeant des détaillants étrangers qu'ils achètent 30% de leurs fournitures à des producteurs locaux, selon une source proche du dossier citée par le quotidien.

Le gouvernement avait initialement demandé à Ikea de se soumettre à cette réglementation à partir de la première année d'installation tandis que le groupe suédois réclamait une période de grâce de dix ans. Les normes en vigueur concernant l'approvisionnement local visent à apaiser les craintes des nombreux petits commerçants face à l'arrivée des multinationales étrangères.

En juin, l'Inde avait annoncé qu'Ikea allait investir 1,5 milliard d'euros (1,9 md USD) pour ouvrir des enseignes. Le gouvernement avait précisé qu'un investisement initial de 600 millions d'euros serait suivi d'une injection supplémentaire de 900 millions d'euros, sans toutefois fournir de dates.

Ikea, qui n'a pas encore de boutiques en Inde, compte profiter du récent feu vert du gouvernement à la libéralisation du commerce de détail à enseigne unique qui permet aux sociétés étrangères de posséder 100% des boutiques, contre 51% précédemment.

Italie : la récession se poursuit


avec agences Mis à jour  | publié 

La Méditerranée a la cote aux USA


AFP Publié  

Les intentions de vacances en Méditerranée des croisiéristes nord-américains progressent pour 2013, après une baisse liée au naufrage du Costa Concordia en janvier, indique mardi une étude de l'association internationale des croisiéristes (CLIA).

Pour près de la moitié (45,1%) des agences de voyage interrogées aux Etats-Unis et au Canada, la Méditerranée se classe comme l'une des "destinations en vogue l'année prochaine", suscitant "une demande et un intérêt nouveaux ou croissants".

Lors d'une enquête semblable en janvier 2012, peu après le naufrage du Costa Concordia au large des côtes italiennes, 38,2% des agents interrogés classaient la Méditerranée parmi les destinations favorites de leurs clients, précise l'étude.

Selon cette enquête en ligne réalisée en juillet auprès de 300 agences de voyages, les trois destinations préférées des croisiéristes nord-américains pour 2013 sont dans l'ordre les Caraïbes, l'Alaska et la Méditerranée.

L'étude évoque également la bonne santé du secteur, plus de la moitié des agents indiquant qu'ils vendent plus de croisières qu'en 2011 et 64% d'entre eux prévoyant encore une hausse des volumes de réservations pour le reste de 2012.

En mars, la CLIA et le Conseil européen de la croisière s'étaient dotés de cinq porte-parole en Europe, sur les cinq principaux marchés du secteur, pour défendre l'industrie et rassurer sur la sécurité après le naufrage du Concordia le 13 janvier.

Pays arabes: investissements en hausse


AFP Publié 

Les investissements étrangers et locaux dans les pays arabes ont légèrement augmenté l'an dernier malgré la vague de violences qui a marqué le Printemps arabe, a indiqué mardi l'organisme arabe de garanties des investissements et des exportations, basé à Koweït.

Dans une étude, l'organisme précise que les investissements, privés et publics, avaient atteint en 2011 496 milliards de dollars, en hausse de 1,2% par rapport à 2010 (490 milliards USD), sans préciser la part des investissements étrangers.

Aucune précision n'a été donnée sur les pays qui ont bénéficié de ces investissements.

Quatre pays pétroliers -Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Qatar et Algérie- ont contribué à hauteur de 63% de ces investissements, soit 312,5 milliards de dollars, indique l'étude qui couvre 21 des 22 membres de la Ligue arabe.

L'étude estime à 4.260 milliards de dollars les investissements en capital attendus dans les 21 pays sur six ans (2012/17, dont plus de 1.000 milliards de dollars pour l'Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole dans le monde.

Ces investissements devraient s'élever à 559 milliards en 2012 et évoluer ensuite graduellement pour atteindre 779 milliards de dollars en 2017, selon l'étude qui explique son optimisme par les ambitieux programmes d'investissement annoncés notamment par les riches monarchies pétrolières du Golfe.


 

Grèce: trouver 4Mds€ d'économies AFP


La Grèce est à la recherche d'environ 4 milliards d'euros d'économies pour 2013 et 2014, a annoncé mardi le ministre des Finances, Yannis Stournaras.

 Mis à jour le 07/08/2012 à 16:01 | publié le 07/08/2012 à 15:59 

Ces économies font partie d'une somme totale de réduction des dépenses publiques de 11,5 milliards d'euros réclamées par les créanciers, UE (Union européenne) et FMI (Fonds monétaire international), pour les deux prochaines années, et qui doivent être décidées par le gouvernement d'ici à septembre.

"Les 11,5 milliards d'euros sont un chiffre important. Nous n'y sommes pas encore arrivés, il nous reste encore à trouver entre 3,5 milliards d'euros et 4 milliards", a indiqué M. Stournaras, à l'issue d'une discussion sur l'économie avec le président de la République Carolos Papoulias.

Le ministre a indiqué que les négociations se poursuivaient avec les experts de la troïka, UE-BCE-FMI, qui ont conclu dimanche une première phase des discussions avec les responsables grecs sur ces nouvelles mesures.

"Des progrès"

Les experts de la troïka, qui doivent revenir à Athènes début septembre, ont indiqué dimanche qu'"il y avait eu des progrès" dans les discussions avec les responsables grecs et que le gouvernement s'était engagé à atteindre les objectifs du plan d'ajustement budgétaire dicté par la troïka.

Les négociations avec la troïka se poursuivront "jusqu'à la fin août", a souligné M. Stournaras, qui n'a pas exclu la mise au chômage partiel d'environ 15.000 fonctionnaires d'ici à la fin 2012.

Le puissant syndicat du privé (GSEE) a récemment qualifié le plan de la troïka "de placebo qui a aggravé la récession et le chômage avec des conséquences dramatiques pour la société".

mardi 7 août 2012

Espagne: baisse du nombre d'entreprises avec Reuters Publié le 07/08/2012 à 16:21


Le nombre d'entreprises actives en Espagne a baissé pour la quatrième année consécutive en 2011, tombant à son plus bas niveau depuis cinq ans, selon des chiffres publiés mardi par l'Institut national de la statistique (INE).

Selon l'INE, le nombre d'entreprises exerçant une activité dans la quatrième économie de la zone euro a baissé de 1,6% en 2011 pour s'établir à 3,199 millions.

Depuis un pic de 3,422 millions d'entreprises enregistrées fin 2008, près de 250.000 d'entre elles ont fermé, notamment dans les secteurs du bâtiment et de l'ingénierie.

L'explosion de la bulle immobilière espagnole fin 2007, suivie par l'escalade de la crise de la dette de la zone euro depuis 2010 ont plongé le pays dans la récession et élevé les coûts d'emprunts du gouvernement à leur plus haut niveau depuis le lancement de l'euro en 1999.

Le taux de chômage espagnol, le plus élevé de la zone euro, a progressé au cours du deuxième trimestre 2012 pour atteindre 24,6%, soit 5,7 millions de chômeurs, selon l'INE. 

On chôme moins à fin juin... mais ce n'est pas nouveau

Un taux de chômage de 8.1% contre 9.9%, trois mois avant

C’est l’une des rares, pour ne pas dire la seule bonne nouvelle qu’a dû recevoir ce gouvernement : le chômage a baissé au Maroc au cours du deuxième trimestre (à 8,1%), à la fois par rapport au trimestre précédent (9,9%) et par rapport au même trimestre de l’année 2011 (8,7%), selon les dernières statistiques du HCP.

L’économie marocaine, il faut bien le dire, semble parfois échapper aux lois…de l’économie. Alors que la croissance au deuxième trimestre a légèrement reflué (voir page 23), 112 000 emplois nets ont été créés, en particulier dans les services. Autre paradoxe, la croissance hors agricole s’est très bien comportée (4,7%), et pourtant le secteur industriel, lui, n’a créé aucun emploi en ce deuxième trimestre, il en a même perdu 38 000 !

Il reste qu’au deuxième trimestre le nombre de chômeurs, en valeur, a substantiellement baissé : 949 000 au lieu de 1,015 million un an auparavant, soit 66 000 chômeurs en moins. Et cette baisse a touché surtout le milieu urbain, mais aussi le rural : respectivement - 57 000 et -9000 chômeurs. C’est ainsi que le taux de chômage en milieu urbain a baissé de 1,2 point à 12,3% et en milieu rural de 0,1 point à 3,5%. Les femmes, en milieu urbain, sont celles qui en ont le plus profité : le taux de chômage les concernant a en effet baissé de 2 points. Par âge, les plus chanceux se sont les adultes urbains de 35 à 44.

Le gouvernement devrait toutefois savoir que ce fort repli du chômage n’est pas quelque chose d’exceptionnelle, il est conforme à ce qui est traditionnellement observé sur cette période de l’année. En 2009 et 2010, le taux de chômage à la fin du deuxième trimestre fut respectivement de 8% et 8,2% !
Salah Agueniou. La Vie éco
www.lavieeco.com
2012-08-07

Malgré la crise, le secteur du tourisme rattrape son retard et revient au niveau de juin 2011

Au termes des 6 premiers mois, le volume des arrivées a atteint le même niveau qu'en 2011, selon les estimations de l'ONMT. Les réservations des TO pour le 2ème semestre confirment la reprise pour ce qui est des voyages packagés.

La crise dans le tourisme continue d’impacter les professionnels du secteur, à la fois dans les marchés émetteurs (tour-opérateurs, agences de voyages) et dans les destinations touristiques, notamment les hôtels et les professions qui gravitent autour de l’hôtellerie. Cela dit, malgré cette conjoncture, pour le moins difficile et incertaine, la destination Maroc qui souffre depuis l’attentat du café Argana survenu le 28 avril 2011, affiche au terme du premier semestre 2012 des résultats qui laissent entrevoir une lueur d’espoir quant à l’évolution des arrivées. Selon les estimations de l’Office national marocain du tourisme (ONMT), et en attendant la publication des statistiques officielles, le mois de juin a connu une forte progression par rapport à juin 2011. Ainsi, à fin juin, c’est-à-dire au titre des six premiers de l’année en cours, les arrivées aux frontières atteindraient le même volume que durant la même période de 2011.

La destination est passée progressivement d’une baisse du nombre d’arrivées de 9% en janvier 2012 à -2% à fin mai pour rattraper donc à fin juin le niveau de l’année écoulée. Et, explique le DG de l’ONMT, Hamid Addou, ce qui permet d’espérer une poursuite de la reprise ce sont les prévisions des TO européens pour le Maroc, au vu de leurs réservations enregistrées pour le second semestre 2012. Ainsi, selon le CETO, association qui regroupe les principaux TO français, les réservations des clients font apparaître une progression de la destination Maroc, en nombre de clients, de 36% pour la période allant de juillet à décembre 2012, alors qu’une destination comme l’Espagne enregistre pour la même période une baisse de 32%. De même, l’APTA, l’équivalent du CETO en Grande-Bretagne, crédite le Maroc d’une hausse du nombre de clients britanniques de 12% entre les mois d’août et décembre 2012.


De telles prévisions s’inscrivent dans une tendance qui s’est déjà manifestée chez les TO français durant la saison de l’hiver dernier, allant de novembre 2011 à avril 2012, et qui a classé le Maroc en tête des 10 premières destinations moyen courrier choisies par les Français avec 135 099 voyages forfaitaires. Et ce, malgré une baisse globale importante du nombre de ces clients (-28%) qui ont opté pour le Maroc durant cette période. A titre de comparaison, la Tunisie dont le nombre de clients a progressé de 8% (mais elle revient de loin en raison du printemps arabe) est classée 2e juste après le Maroc avec 107 646 clients. Ceci étant, le CETO annonce globalement une année 2012 très mauvaise, compte tenu de la baisse du nombre de clients toutes destinations confondues.

Un budget limité pour la promotion de la destination

Comment interpréter cette situation autrement qu’en disant que la destination continue d’être attractive, mais que cette attractivité est laminée par la crise économique et financière qui frappe de nombreux pays européens. En d’autres termes, la destination Maroc est bien placée pour profiter d’une reprise de l’activité touristique, mais cette reprise n’est pas encore pronostiquée par les spécialistes. Raison pour laquelle le Maroc doit intensifier la promotion dans les marchés émetteurs traditionnels, mais, là encore, l’ONMT se heurte à la limitation de ses moyens d’action.

Selon le DG de l’ONMT, les trois quarts du budget de l’Office consacré à la  communication institutionnelle ont déjà été consommés durant le premier semestre 2012, et le reliquat devrait être dépensé durant le dernier trimestre de l’année. M. Addou ajoute que 60% des dépenses ont été alloués à la promotion sur Internet, canal devenu désormais primordial pour générer des arrivées. Pour illustrer cette option, il faut signaler que la campagne en ligne du Maroc pour générer du trafic vers le portail www.visitmorocco.com a généré, selon l’office, 170 millions de clics individuels durant ce premier semestre, à travers les sites généralistes, la presse quotidienne en ligne, les sites de voyages et de tourisme, etc. D’ailleurs, le portail gagnerait à être mieux médiatisé auprès de la clientèle locale qui joue le rôle d’amortisseur en temps de vaches maigres. L’on rappellera que les standards internationaux veulent que cette dernière constitue au moins le tiers du flux touristique dans l’hôtellerie pour assurer au secteur une rentabilité régulière.    

Pour en revenir aux touristes internationaux, il faut souligner, par ailleurs, que le Maroc a bénéficié de plus de 6 000 passages de spots publicitaires sur les télévisions répartis sur les pays émetteurs européens (France, Allemagne, Italie, Espagne...) ainsi que les marchés du Moyen-Orient avec près d’un millier de spots diffusés sur les chaînes arabophones comme MBC ou Al Arabiya. Quant à la campagne d’affichage, elle a touché, outre les marchés traditionnels cités, des pays comme la Russie et la Pologne, avec au total plus de 27 000 affiches. 

L’ONMT essaie aussi de suivre les événements internationaux comme ces jours-ci à Londres où, à l’occasion des Jeux olympiques, le Maroc est présent à travers une exposition consacrée à l’Afrique dans le célèbre Hyde Park avec un stand de 150 m2 qui pourrait être visité par quelque 140 000 personnes.
Mohamed Moujahid. La Vie éco
www.lavieeco.com
2012-08-07

Mohamed Berrada prend la défense des entreprises françaises qui délocalisent


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Les perspectives de l'économie marocaine restent "positives" malgré une mauvaise année agricole


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El Azami El idrissi : "Il n'y a pas de crise économique au Maroc"


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Driss El Azami El idrissi, a nié l'existence d'une crise économique au Maroc, soulignant que "les difficultés conjoncturelles" qu'affronte le pays actuellement seront bientôt maîtrisées à travers l'adoption par le gouvernement de mesures d'urgence et sur le moyen terme.
Dans un entretien avec le journal "Attajdid" publié lundi, M. El Azami a précisé que le gouvernement a approché cette conjoncture "d'une manière intelligente", en adoptant des mesures d'urgence, dont la mobilisation de fonds étrangers et l'encouragement des investissements extérieurs, soulignant que la principale difficulté découle de la baisse des réserves en devises et que le gouvernement est décidé d'y remédier.
A ce propos, le ministre a relevé les indicateurs positifs de l'économie nationale, à l'instar de l'indice de la production industrielle qui a augmenté de +3,7 pc, bien mieux que la performance de 2011.
M. El Azami prévoit que le produit intérieur brut non agricole du Royaume augmente de 4,5 pc à la fin de l'année en cours et ce, en dépit des conditions climatiques défavorables liées au retard des pluies et à la sécheresse.
S'agissant de l'indicateur du marché du travail, M. El Azami a relevé que le premier trimestre de cette année a été marqué par la perte de 109 mille emplois, notamment dans le monde rural.
Toutefois, poursuit-il, quelque 96 mille emplois ont été créés en milieu urbain pendant la même période. Ces créations d'emplois ont atteint 112 mille postes au deuxième trimestre de l'année en cours.
Le responsable marocain a conclu que les indicateurs du déficit budgétaire restent "positifs", soulignant que le gouvernement est décidé d'appliquer son programme dont l'objectif est un déficit de 3 pc à l'horizon 2016, sachant que lors de la nomination de l'exécutif, le déficit était de 6,9 pc hors privatisations.
Il a ajouté que ce déficit sera stabilisé aux environs de 5 pc cette année à la faveur de la dernière hausse des prix des hydrocarbures qui permettra d'économiser 5,7 milliards dirhams.
MAP-www.aufaitmaroc.com

L'apithérapie, une médecine naturelle et alternative en plein essor à Fès-Boulemane


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Aziz Rebbah: "Tout le monde peut dorénavant investir dans l'exploitation des carrières de sable..."


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lundi 6 août 2012

Services de télécom : Baisse des prix


Les prix des services des télécommunications continuent à baisser pour le deuxième trimestre de l'année 2012, a annoncé jeudi l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) dans un communiqué. 
Pour le mobile, l'Average revenue par minute (ARPM) est passé de 0,78 DH hors taxe par minute (HT/Min) à fin juin 2011 à 0,62 DH HT/Min à fin juin 2012, marquant ainsi une baisse de 21 %, alors que l'usage moyen sortant mensuel par client mobile s'est apprécié de 16 % pour atteindre 67 min par client et par mois. 
Le prépayé prédomine toujours avec une part de 95,35 % contre 4,65 % pour le postpayé, ajoute la même source. 
Quant au fixe, son ARPM est passé de 0,94 DH HT/Min à fin juin 2011 à 0,84 DH HT/Min à fin juin 2012, soit une baisse de 11 %, indique l'ANRT ajoutant que la facture moyenne de l'internet a baissé de 28 %, passant de 75 DH HT par mois et par client à fin juin 2011 à 54 DH HT à fin juin 2012. 
Pour l'internet 3G, cette facture est passée de 54 DH HT par mois et par client à fin juin 2011 à 37 DH HT par mois et par client à fin juin 2012, marquant ainsi une baisse de 31 %. Pour l'ADSL, elle est passée de 132 DH HT par mois et par client à fin juin 2011 à 125 DH HT par mois et par client à fin juin 2012, soit une baisse de 5 %. 
Le parc des abonnés à la téléphonie mobile a renoué avec la croissance après le léger recul constaté en mars dernier. Ce parc a atteint 37.422.105 à fin juin 2012, en évolution de 3,27 % par rapport au premier trimestre et de 7 % par rapport à la même période de 2011. Le taux de pénétration au terme du second trimestre 2012 est de 115,07 % contre 112,59 % à fin mars. 
Le parc global des abonnés à la téléphonie fixe a atteint 3.444.546 enregistrant une baisse trimestrielle de 2,5 % et annuelle de 5 ,53 %. Le taux de pénétration enregistré au terme de ce trimestre est de 10,59 %. 
Le parc internet s'élève à 3.759.432 d'abonnés réalisant un taux de croissance trimestriel de 9,13 % et annuel de 60,27 %. Ainsi, le taux de pénétration de l'internet a atteint 11,56 %. 
Les abonnés internet 3G (83,22 % du parc internet global) ont enregistré un taux de croissance trimestriel de 10,46 % et annuel de 72,20 %, alors que les abonnés à l'ADSL ayant au moins un débit de 4 Mbits/s représentaient près de 99 % des abonnés internet à fin juin 2012.

Samedi 4 Août 2012
Libé.ma

Le gouvernement tenté par de nouvelles hausses des prix : Nizar et les chiffres qui font peur

Marocaines et Marocains, vous êtes ardemment invités par le gouvernement Benkirane à serrer davantage la ceinture. Au cas où vous auriez quelques doutes, Nizar Baraka, l’argentier du Royaume, s’est chargé de vous le rappeler. Les chiffres sont effarants. Ils sont là pour vous rappeler que les six premiers mois de ce mandat tranchent terriblement avec les promesses miroitées toute une campagne durant. 
Lors  d'un exposé devant la Commission des finances et du développement économique à la Chambre des représentants, le ministre de l'Economie et des Finances, Nizar Baraka, a dressé un tableau noir de l’économie nationale avec un déficit qui a atteint 99 milliards de dirhams ; la cause principale étant la facture pétrolière qui a augmenté de 80%. Une explication allant dans le sens, comme le laissent prévoir certaines sources proches du GPM, d’une nouvelle augmentation dès le mois de septembre. Il a expliqué que la conjoncture qui prévaut dans la Zone euro et la volatilité des cours des matières premières et de change ont eu une incidence négative sur l'économie nationale, ce qui s'est répercuté sur la demande extérieure adressée au Maroc. 
Le ministre de l’Economie et des Finances a également souligné que les dépenses budgétaires ont connu une augmentation de 49,7% par rapport à la même période de l'année écoulée, pour atteindre 1,8 milliard de dirhams. Il a donc demandé une rationalisation des dépenses, ce qui se traduira par une certaine austérité au niveau du fonctionnement de certains ministères qui souffrent déjà d’insuffisances comme l’enseignement, la santé pour ne citer que ces deux cas-là. 
D’autres indicateurs plus alarmants encore comme la perte de 109.000 emplois laissent planer l’inquiétude sur l’avenir de notre économie. Il en va de même pour les réserves de devises qui sont estimées à seulement 60 milliards de dirhams. 
L’argentier du Royaume qui était accompagné de Idriss Azami Al Idrissi, ministre chargé du Budget, a imputé la conjoncture à  la crise internationale, et plus particulièrement celle qui sévit dans la Zone euro et qui  a eu  un impact négatif sur l’économie nationale à travers la régression de la demande externe, l’augmentation des prix des matières premières. Le ministre de l’Economie a invoqué également la question de la liquidité monétaire, le recul des nuitées touristiques ainsi que celui des crédits destinés au secteur immobilier. Bref, après six mois d’exercice, le gouvernement a enfin daigné reconnaître que l’image qu’il donnait aux Marocains de leur économie était fausse. 
Le Centre marocain de conjoncture, présidé par Habib El Malki a, à maintes reprises, alerté dans ses notes de conjoncture, sur la gravité de la situation. Cependant, à chaque fois, c’étaient des sorties médiatiques des membres du gouvernement Benkirane qui venaient démentir les prévisions dudit centre ainsi que celles d’autres instances nationales et internationales. En fait, admettre les impacts de la crise par le gouvernement semble être une préparation pour d’éventuelles hausses des prix des matières subventionnées et peut-être le démantèlement de la Caisse de compensation qui se traduira par une cherté de la vie et une crise plus aiguë que celle tracée par l’argentier du Royaume.
http://www.libe.ma

Des entrepreneurs marocains en immersion à la Silicon Valley

L’Association des professionnels marocains en Amérique vient d’organiser sa première conférence à la Silicon Valley. Un atelier formateur pour les porteurs de projets marocains.


L’Association des professionnels marocains en Amérique (AMPA) a organisé dernièrement sa première conférence à la Silicon Valley sur le thème de l’entrepreneuriat technologique et de la création des sociétés start-up. La conférence, tenue à l’Université Stanford à Palo Alto en Californie (ouest des États-Unis), a rassemblé des entrepreneurs et investisseurs de l’industrie de la haute technologie installés aux États-Unis, au Canada et au Maroc, venus s’informer et bénéficier du savoir-faire de la Silicon Valley, haut lieu des industries de pointe aux États-Unis, indique un communiqué de l’AMPA parvenu le 30 juillet à l’agence MAP.

Mettre en lumière les bonnes pratiques

Cette rencontre visait à faire la lumière sur les bonnes pratiques pour le lancement de start-up et à encourager la délocalisation de ses entreprises et l’externalisation de leurs procédures IT (technologies de l’information) au Maroc, selon la même source. L’évènement a également permis aux participants de s’informer des expériences réussies en la matière et couvert plusieurs thématiques, y compris le développement d’un business plan technologique et les financements de type «Venture Capital».
Les participants ont pu profiter notamment du coaching, de l’expertise et des conseils pratiques des différents intervenants pour pouvoir lancer, financer et développer leurs propres start-up.
Le président de l’AMPA, Yassir Abousselham, a souligné à cette occasion l’engagement de son association à continuer d’organiser des évènements similaires à même d’avoir un «impact positif sur le développement professionnel de nos membres et encourager les échanges économiques entre les États-Unis et le Maroc». 
Publié le : 31 Juillet 2012 - MAP- http://www.lematin.ma

Tourisme Le Maroc veut attirer un million de visiteurs britanniques par an


Le Maroc s’est fixé comme objectif d’attirer plus d’un million de touristes britanniques par an, a rappelé le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, cité par la MAP le 30 juillet, soulignant que plusieurs actions sont entreprises pour réaliser cet objectif, notamment à travers des campagnes agressives de communication et de sensibilisation. Ces campagnes visent également les leaders d’opinion en Grande-Bretagne et les professionnels du secteur afin de les sensibiliser aux divers atouts touristiques du Maroc, a précisé le ministre, notant que son département étudiait la possibilité de signer de nouvelles conventions avec les tour-opérateurs britanniques dans le but d’approfondir les liens de partenariat et augmenter les flux des touristes britanniques vers le Maroc.
Revenant sur la campagne de communication marocaine sur ce marché, M. Haddad a expliqué qu’elle mettait en avant «les spécificités du Maroc unique et exceptionnel» tout en mettant l’accent sur les avantages comparatifs dont jouit le Royaume, en particulier sa proximité géographique par rapport à la Grande-Bretagne (moins de trois heures de vol), son héritage culturel et civilisationnel ainsi que ses infrastructures touristiques. M. Haddad a, par ailleurs, fait état des efforts consentis auprès des compagnies aériennes dans le but de les inciter à augmenter les fréquences de leurs vols sur le Maroc, en particulier sur les destinations matures comme Agadir et Marrakech.

Une offre touristique territorialisée

Le ministre n’a pas manqué de souligner l’importance de sensibiliser le grand public concernant la Vision 2020 et les efforts consentis par le Maroc pour atteindre 20 millions de touristes par an à l’horizon 2020. Le Royaume est en train de diversifier son produit touristique, en territorialisant l’offre, a-t-il dit, mettant l’accent sur la nécessité d’aller vers de nouveaux partenaires surtout dans les principaux marchés émetteurs de touristes pour leur expliquer les stratégies mises en œuvre par le Maroc pour le développement du secteur du tourisme. Soulignant que la conjoncture internationale, marquée en particulier par la crise économique et financière en Europe, «n’est pas facile», le ministre a précisé qu’il fallait se garder de «confondre cette conjoncture avec la Vision 2020». Il a, dans ce contexte, appelé à piloter et à agencer la stratégie marocaine en fonction des facteurs conjoncturels.
Les efforts s’intensifieront pour réaliser l’objectif d’attirer 20 millions de touristes par an à travers la mise en œuvre de stratégies visant notamment la territorialisation de l’offre, la promotion du tourisme de niche et le renforcement des liens de partenariat avec les acteurs étrangers. Le tourisme marocain a fait montre, durant les 20 dernières années, d’une grande résilience face aux crises internationales, explique M. Haddad, citant notamment la première guerre du Golfe, les attentats du 11 septembre 2001 contre les États-Unis et la crise économique internationale de 2008.
«En dépit de ces crises, le tourisme marocain a montré une résilience qui témoigne du degré de maturité du secteur», a-t-il indiqué, appelant à garder le cap sur la Vision 2020 en intensifiant notamment les efforts visant à attirer davantage de touristes à partir des pays émergents et de conquérir des marchés qui n’ont pas été réellement affectés par la crise économique internationale. Le ministre a également mis l’accent sur la nécessité d’investir dans la qualité du produit touristique marocain, soulignant que le Maroc prendra part à la prochaine édition du World Travel Market (deuxième plus grand salon mondial du tourisme), prévue à Londres vers la fin de l’année, avec la même détermination de renforcer sa présence sur le marché britannique en capitalisant sur l’image très positive dont jouit le Royaume dans ce pays. «Le marché britannique est extrêmement porteur et jouit d’une place privilégiée au sein de la stratégie marocaine de promotion du secteur», insiste le ministre du Tourisme.
Repères
  • Le tourisme marocain a fait montre, durant les 20 dernières années, d’une grande résilience face aux crises internationales, notamment la première guerre du Golfe, les attentats du 11 septembre 2001 et la crise économique internationale de 2008.
  • Le Maroc prendra part à la prochaine édition du World Travel Market, le deuxième plus grand salon mondial du tourisme, prévue à Londres fin 2012.
Publié le : 1 Août 2012 - Avec MAP, LE MATIN